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Votre Danse, Mylène Benoit © Photographie Nicolas Doubre
Votre Danse, Mylène Benoit © Photographie Nicolas Doubre
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Le MuMa accueille Votre danse, nouvelle version du spectacle Notre danse de Mylène Benoît proposée dans le cadre du festival Pharenheit.
 
Extrait du programme du festival :
« Le spectacle Notre danse nous a émus lors de Pharenheit 2017. Porté par cinq danseurs et deux musiciens, il était rempli d’inventions de rituels, de danses et de chants développant un folklore contemporain. Souvenez-vous : Quelle danse emporterions-nous sur une île déserte ? Quels gestes, sons, lumières, architectures matérielles, physiques et mentales seraient les porteurs de nos individualités et communautés ? Cette année, Mylène Benoit en propose une version in-situ produite avec vous et pour vous ! Ce projet participatif sera joué au MuMa et formera une aventure à la fois collective et individuelle. Quelles danses personnelles et intimes vont-ils emporter dans les salles du musée ? Comment ces danses rassemblées formeront-elles un ensemble, une société, un folklore partagé et partageable ? Que diront-elles de la communauté Pharenheit ? Venez être les témoins de ce collectif éphémère et inédit. Pas d’excuses ! La danse, c’est eux, c’est vous, c’est nous, c’est moi ! »
 
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2018 sur : www.lephare-ccn.fr

 




Conception & chorégraphie : Mylène Benoit, Alexandre Da Silva, Magda Kachouche
Création musicale : Nicolas Devos, Pénélope Michel (Puce Moment / Cercueil)
Production : Contour progressif
Administration, production : AlterMachine , Noura Sairour et Carole Willemot
Diffusion : Juliette Malot
Gustave COURBET (1819-1877), La Vague, 1869, huile sur toile, 71,5 x 116,8 cm. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Gustave COURBET (1819-1877), La Vague, 1869, huile sur toile, 71,5 x 116,8 cm. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Fin d’année avec Gustave Courbet !
140 ans après sa mort, le 31 décembre 1877, retrouvons ce fou de peinture et de liberté à travers ses mots et ses tableaux…
Gustave COURBET (1819-1877), La Vague, 1869, huile sur toile, 71,5 x 116,8 cm. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Gustave COURBET (1819-1877), La Vague, 1869, huile sur toile, 71,5 x 116,8 cm. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Fin d’année avec Gustave Courbet !
140 ans après sa mort, le 31 décembre 1877, retrouvons ce fou de peinture et de liberté à travers ses mots et ses tableaux…
Jean-Philippe Gomez, Sans titre © Jean-Philippe Gomez
Jean-Philippe Gomez, Sans titre © Jean-Philippe Gomez

L’Atelier de Musique du Havre, partenaire régulier du MuMa, fête cette année ses 40 ans et a imaginé une programmation au long cours pour marquer l’événement.

Le 18 novembre prochain, l’association fait étape au MuMa et invite des artistes - musiciens, danseurs, circassiens, comédiens… tous anciens complices de nombreux projets de spectacles - pour une performance unique où les traces des chemins partagés nourriront l'exploration du moment.
. © MuMa Le Havre - Laura Guichard
. © MuMa Le Havre - Laura Guichard

Découvrez les collections permanents en compagnie d'une médiatrice du musée.
Le Musée dans les nuages. © MuMa Le Havre
Le Musée dans les nuages. © MuMa Le Havre

Découvrez les collections permanentes en compagnie d'une médiatrice du musée.
Ensemble Alternance © Collin
Ensemble Alternance © Collin

En écho aux manifestations liées au 40ème anniversaire de la création du Centre Georges Pompidou, l'Ensemble Alternance, associé au MuMa pour ce rendez-vous, présente « Polyphonies des formes », un programme musical qui interroge les liens multiséculaires entre musique et architecture.

Au programme, deux œuvres  de deux compositeurs majeurs de la musique du XX° siècle, Pierre Boulez et Iannis Xenakis. Le premier avec Frank Gehry ou Renzo Piano, le second avec Le Corbusier, ont chacun à leur manière apporté une contribution originale à cette réflexion sur la question de la forme, commune à ces deux disciplines.  Enfin, la pièce Gaïa-Sun, création de Philippe Schoeller dont la partie électronique sera réalisée en interaction avec le public via des smartphones*,  donnera un regard résolument contemporain et singulier sur un sujet d'une acuité d'autant plus grande qu'il s'inscrit dans le fil de l'histoire récente d'une Ville, Le Havre, dont la renaissance des décombres de la Seconde Guerre Mondiale puise sa force dans le flamboyant et refondateur geste architectural d'Auguste Perret.
 
* Soyez co-acteurs de la partie électronique de cette création avec l’application SunGaïa ! Téléchargez les fichiers sons électroniques sur votre smartphone depuis l'application. Le jour du concert suivez les indications du compositeur et interagissez avec les musiciens eux-mêmes.

Programme :
Pierre Boulez, Anthèmes II (violon et électronique)
Iannis Xenakis, Psappha (percussion, électronique)
Philippe Schoeller, Gaïa-Sun (flûte, violon, alto, violoncelle, électronique via smartphones) – création
 
Avec :
Ensemble Alternance
Frédéric Baldassare, violoncelle
Daniel Ciampolini, percussion
Jeanne-Marie Conquer, violon
Jean-Luc Menet, flûte et direction artistique
Claire Merlet, alto
Et Christophe Mazzella, réalisateur en informatique musicale, Christophe Lebreton, développement des applications smartphones (Grame-Cncm)*
 
Avec le concours technique du GRAME, Centre National de Création Musicale de Lyon et de NEWZIK pour la lecture digitale
Avec le soutien de la SACEM (copie privée) et de la SPEDIDAM
Stéphane Thidet, D’un soleil à l’autre, 2016
Stéphane Thidet, D’un soleil à l’autre, 2016

Afin de prolonger l’expérience proposée dans l’exposition Impression(s), soleil, le MuMa a imaginé un cycle de conférences, en partenariat avec l’Université populaire et le soutien de la Matmut, sur le thème du soleil. Cet astre qui rythme nos journées joue un rôle essentiel dans nos vies, mais lequel ?...

Tacita Dean, Hiroshi Sugimoto, Olafur Eliasson… De nombreux artistes contemporains s’emparent du soleil comme motif à travers lequel ils racontent le monde et notre rapport au monde. Pour les évoquer, le MuMa invite Colette Garraud, historienne de l’art ayant consacré essentiellement ses publications à la relation entre l’art contemporain et l’environnement naturel.

L’astre dont Monet saluait l’apparition avec Impression soleil levant inspire-t-il encore aujourd’hui les artistes ? En prenant quelques chemins de traverse, en rapprochant des œuvres à première vue distantes tant par leur origine et leur histoire que par les techniques auxquelles elles ont recours, on découvre l’importance des thématiques solaires dans l’art contemporain.
Dès les années soixante-dix, lors du mouvement de sortie des lieux consacrés de l’art au profit des interventions dans le paysage, les artistes du Land Art invitent les spectateurs à suivre, depuis leurs observatoires, les mouvements du soleil (Robert Morris, Nancy Holt). Plus tard, d’autres poursuivront ce dialogue direct avec la nature (David Nash).
La photographie ne sera pas en reste, qui permettra tantôt de piéger le soleil dans des constructions éphémères (Nils Udo), tantôt d’instaurer des liens poétiques entre le corps de l’artiste et l’astre lointain (Barbara et Michael Leisgen), tantôt de feindre une résistance dérisoire aux lois de l’univers (Giovanni Anselmo). Si le soleil est d’abord pourvoyeur d’une lumière dont les artistes retracent parfois les déplacements tout au long du jour (Hicham Berrada), il a aussi sur les choses et sur les corps des effets multiples, décoloration ou brûlures, qu’exploiteront certains  (Dennis Oppenheim, Roger Ackling). Et, bien sûr, l’énergie solaire ne pouvait qu’intéresser tout particulièrement ceux qui ont dévolu leur œuvre  entière à l’idée de nature (Erik Samakh).
Grâce à un usage savant de technologies complexes, ainsi qu’aux liens qui se tissent entre art et science, l’attention portée au cosmos ne fait que s’affirmer dans des créations récentes où observation et savoir côtoient la fiction, où nature et artifice se confondent. C’est ainsi qu’Hiroshi Sugimoto se sert d’un prisme et d’un miroir pour décomposer la lumière de l’aube, qu’Olafur Eliasson fait surgir un astre gigantesque dans l’espace embrumé de la Tate Modern à Londres, que Stéphane Thidet capte et transforme, afin de nous les rendre audibles, les sons émis par le soleil, et que Laurent Grasso, après bien d’autres œuvres célébrant d’inquiétants soleils fictifs, tantôt doubles et tantôt noirs, ainsi que de fausses éclipses, traduit en lumières mouvantes et colorées les effet du vent solaire sur les hautes tours de SolarWind
Édouard MANET (1832-1883), Bateaux en mer, soleil couchant, ca. 1868, huile sur toile, 43 x 94 cm. Œuvre récupérée à la fin de la Seconde Guerre mondiale, déposée en 1961 par l'Etat; en attente de sa restitution à ses légitimes propriétaires. MNR 873.. © MuMa Le Havre / David Fogel
Édouard MANET (1832-1883), Bateaux en mer, soleil couchant, ca. 1868, huile sur toile, 43 x 94 cm. Œuvre récupérée à la fin de la Seconde Guerre mondiale, déposée en 1961 par l'Etat; en attente de sa restitution à ses légitimes propriétaires. MNR 873.. © MuMa Le Havre / David Fogel

Une conférence de Michel Collot

Afin de prolonger l’expérience proposée dans l’exposition Impression(s), soleil, le MuMa a imaginé un cycle de conférences, en partenariat avec l’Université populaire et le soutien de la Matmut, sur le thème du soleil. Cet astre qui rythme nos journées joue un rôle essentiel dans nos vies, mais lequel ?...
 
A partir du tableau Impression, soleil levant, nous avons demandé à Michel Collot de revenir sur la place du soleil dans l’histoire de l’art occidental, comme motif ou sujet de la peinture. Michel Collot, historien de l’art et de la littérature, est notamment l’auteur de L'Horizon fabuleux paru en deux volumes aux éditions Corti (1988) et de Paysage et poésie (Corti, 2005). Il était intervenu au MuMa à l’occasion de l’exposition consacrée à Nicolas de Staël.
 
Soleil, Jean-Claude Vial, Christian Ngo, Jean-Pierre Verdet, FAYARD éditeur
Soleil, Jean-Claude Vial, Christian Ngo, Jean-Pierre Verdet, FAYARD éditeur

Une conférence de Christian Ngô

En partenariat avec l’Université Populaire
Avec le soutien de la Matmut


Sans le soleil, pas de vie possible. Ses rayons lumineux chauffent,  éclairent, font pousser les végétaux indispensables à notre alimentation. Une infime partie de l’énergie solaire a été stockée il y a des millions d’années sous forme de charbon, de pétrole et de gaz naturel. Ces sources d’énergie indispensables aux civilisations modernes, ont permis des progrès considérables dans de nombreux domaines. Partenaire santé – puisqu’il fournit au corps de la vitamine D -, le soleil peut être aussi un ennemi à fuir… Entre idées reçues et prospective, le physicien Christian Ngô nous rappelle l’impact du soleil sur notre quotidien, et le rôle qu’il va jouer dans notre avenir.

Christian Ngô, physicien, a été directeur scientifique au CEA, délégué général de l’association ECRIN (Echanges et Coordination Recherche Industrie) et il a fondé Edmonium, pôle ressources en énergie, nanotechnologies et environnement (www.edmonium.fr). Christian Ngô est l’auteur ou co-auteur de plus d’une douzaine d’ouvrages scientifiques.

Le MuMa tient à remercier l’Université Populaire et toute son équipe pour ce partenariat.

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