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Performance de Jonah Bokaer et Daniel Arsham
Chorégraphie et interprétation : Jonah Bokaer
Scénographie : Daniel Arsham
Musique : Ryoji Ikeda
Costumes : Fabric Workshop & Museum, Philadelphia

En partenariat avec le CCN Le Havre - Haute-Normandie, dans le cadre du festival Pharenheit
 
Invité pour l’édition 2013 du festival Pharenheit avec un solo, Jonah Bokaer revient cette année en compagnie de Daniel Arsham. Américains et artistes multimédia, ils se sont rencontrés auprès de Merce Cunningham pour qui le premier dansa et le second signa lumières et costumes. Ensemble, ils conçoivent des projets mêlant performance, architecture, mouvement, objets, lumière…

Travaillant sur la question des points de vue, Study For Occupant a été créé autour d’un dispositif scénique central invitant le public à se déplacer tout autour. Inspirée des récits biographiques du sculpteur Louise Nevelson, cette pièce questionne la valeur du langage visuel et photographique.
Installé au MuMa, le dispositif sera activé par Jonah Bokaer lui-même. Le corps en négatif met sans cesse en mouvement, transforme et modifie les fonctions et les usages de l’espace qui l’environne entre supports et surfaces. Entre présence, devenir, absences et traces, ce projet est une invitation au regard sur le faire-image.
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Performance de Jonah Bokaer et Daniel Arsham
Chorégraphie et interprétation : Jonah Bokaer
Scénographie : Daniel Arsham
Musique : Ryoji Ikeda
Costumes : Fabric Workshop & Museum, Philadelphia

En partenariat avec le CCN Le Havre - Haute-Normandie, dans le cadre du festival Pharenheit
 
Invité pour l’édition 2013 du festival Pharenheit avec un solo, Jonah Bokaer revient cette année en compagnie de Daniel Arsham. Américains et artistes multimédia, ils se sont rencontrés auprès de Merce Cunningham pour qui le premier dansa et le second signa lumières et costumes. Ensemble, ils conçoivent des projets mêlant performance, architecture, mouvement, objets, lumière…

Travaillant sur la question des points de vue, Study For Occupant a été créé autour d’un dispositif scénique central invitant le public à se déplacer tout autour. Inspirée des récits biographiques du sculpteur Louise Nevelson, cette pièce questionne la valeur du langage visuel et photographique.
Installé au MuMa, le dispositif sera activé par Jonah Bokaer lui-même. Le corps en négatif met sans cesse en mouvement, transforme et modifie les fonctions et les usages de l’espace qui l’environne entre supports et surfaces. Entre présence, devenir, absences et traces, ce projet est une invitation au regard sur le faire-image.
Guillaume Gargaud et Jean Philippe Gomez à Étretat. © Le Havre, AMH
Guillaume Gargaud et Jean Philippe Gomez à Étretat. © Le Havre, AMH

Guillaume Gargaud et Jean Philippe Gomez se sont rencontrés au sein de la formation Nozal Cube en 2011.

En partenariat avec l’Atelier de Musique du Havre (AMH)

Ces deux improvisateurs aux langages pourtant opposés se sont très vite accordés, le duel est né. Les sonorités glaciales de la table de mixage en boucle se confrontent à la chaleur de la guitare préparée. L'émulsion prend, les couleurs et les directions se disloquent, changent à chaque instant.
La voix vient parfois ponctuer, commenter ou imiter l'électronique. La concentration des protagonistes en dit long sur les risques d'une improvisation toujours plus sensible qui multiplie les expériences-limites.
Tantôt syncope, collapse, saillie hardcore ou bruissement délicat, le plaisir est dans la recherche d'un live offert à tous les publics et dans les lieux disparates les plus inattendus.
Florent Audibert au violoncelle. © Rouen, Opéra
Florent Audibert au violoncelle. © Rouen, Opéra
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Musique de Ravel, Faivre, Bach, Glière
Poèmes de Bertrand, Baudelaire, Verlaine, Laforgue, Michaux
Avec Hélène Bordeaux au violon, Florent Audibert au violoncelle et Erick Denis, récitant
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Haute-Normandie

La poésie fut dès l’origine associée à la lyre ; d’abord accompagnée, elle s’émancipa peu à peu de la musique à mesure qu’elle passait de l’oralité à l’écrit.
Le lied, qui ne se confond pas avec la chanson dont l’esthétique populaire a ses règles propres, est une retrouvaille a posteriori entre les deux.
Des musiciens s’inspirèrent des poètes mais la prosodie du vers, lorsqu’elle se pliait à la mesure et à l’accord, perdait souvent en naturel et en intelligibilité et parfois même en émotion.
C’est peut-être le cinéma ou la radio qui, superposant la musique à la voix par montage, réussirent les plus bouleversantes rencontres entre les deux.

Ce projet se veut une expérience vivante qui rapproche de manière improbable ou anachronique des notes et des mots, associations dont le récitant et les deux musiciens ont aimé les échos, par alternance ou superposition.
Ce choix très éclectique de textes et de compositions s’est néanmoins construit naturellement autour d’un parcours que jalonnent les plus universelles expériences humaines, de la naissance à la mort.
Geneviève ASSE (1923-2021), Ouverture II, 1971, diptyque, huile sur toile, 194,5 x 228 cm. Le Havre, MuMa. © MuMa Le Havre / Charles Maslard © ADAGP, Paris, 2015
Geneviève ASSE (1923-2021), Ouverture II, 1971, diptyque, huile sur toile, 194,5 x 228 cm. Le Havre, MuMa. © MuMa Le Havre / Charles Maslard © ADAGP, Paris, 2015

L’équipe de médiatrices du MuMa vous propose un coup de projecteur sur une œuvre de la collection. Pour ce nouveau rendez-vous, présentation d'Ouverture II, un diptyque de Geneviève Asse, acquis par le MuMa en 2014.
Vue intérieure, grande nef depuis la mezzanine (lieu des expositions temporaires). © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Vue intérieure, grande nef depuis la mezzanine (lieu des expositions temporaires). © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn

Après le « Musée en courant » et le « Musée en mouvement », le MuMa continue de vous proposer des expériences de visite inédite.

En partenariat avec le CCN Le Havre - Haute Normandie, dans le cadre du Festival Pharenheit.

« Dans l’exposition « Portrait of a man » de Sabine Meier, c’est un voyage dans l’imaginaire que nous allons expérimenter. Nous entrerons dans les œuvres de l’artiste comme dans un rêve, et comme en songe tout est possible, nous nous imaginerons personnages de la narration, nous questionnerons nos postures en relation avec nos émotions, nous éprouverons les ambiances qui se dégagent, nous voyagerons entre New York, Le Havre et Saint-Pétersbourg.
Comme un palimpseste, nous tisserons notre fiction sur celle de l’artiste, une histoire sur l’histoire, mais nourrie de celle-ci. » Micheline Lelièvre
 
Vue intérieure, collection permanente. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Vue intérieure, collection permanente. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn

Découvrez les collections permanentes, en compagnie des médiatrices du musée.
Sabine MEIER (1964), In perspective, série « Portrait of a man », 2011–2014, photographie. © Sabine Meier
Sabine MEIER (1964), In perspective, série « Portrait of a man », 2011–2014, photographie. © Sabine Meier

Découvrez « Sabine Meier. Portrait of a man », présentée au MuMa, du 06 décembre 2014 au 08 mars 2015, en compagnie des médiatrices du musée.
Sabine MEIER (1964), In perspective, série « Portrait of a man », 2011–2014, photographie. © Sabine Meier
Sabine MEIER (1964), In perspective, série « Portrait of a man », 2011–2014, photographie. © Sabine Meier

Découvrez « Sabine Meier. Portrait of a man », présentée au MuMa, du 06 décembre 2014 au 08 mars 2015, en compagnie des médiatrices du musée.
Sabine MEIER (1964), Narcisse, série « Portrait of a man », 2011-2014, photographie. © Sabine Meier
Sabine MEIER (1964), Narcisse, série « Portrait of a man », 2011-2014, photographie. © Sabine Meier

En 2011, la photographe Sabine Meier bénéficiait du programme de résidence « Le Havre/New York. Regards croisés ». À l'automne, elle s'envolait donc pour New York qui allait devenir le théâtre de Portrait of a man (Rodion Romanovitch Raskolnikov), inspiré du roman de Dostoïevski, Crime et Châtiment, et librement transposé de Saint-Petersbourg aux États-Unis puis au Havre.

Pour sa première présentation publique, l'ensemble du travail photographique de l'artiste réunit, dans une scénographie labyrinthique, quatre-vingt-six photographies et un diaporama d'environ deux cent trente images. Il donne à voir un portrait photographique du héros du roman, Raskolnikov, auteur d'un double crime, dont Dostoïevski décrit le cheminement douloureux jusqu'à une rédemption inespérée.

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