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. ©Micheline Lelièvre
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Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.

« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »

Chorégraphie : Micheline Lelièvre
Musique : Alexandre Roure
Danse : Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
. ©Micheline Lelièvre
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Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.

« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »

chorégraphie Micheline Lelièvre
musique Alexandre Roure
danse  Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
. © Arianne Olthaar
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En écho à l’exposition Nuits électriques qui s'est tenu cet été au MuMa.

Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.

Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
 
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.

Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
. © Christophe Guérin
. © Christophe Guérin
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10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement. 
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue… 
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
 
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.

Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
. © Droits réservés
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Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à  une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à  penser que chaque son obéit à  un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
 
Avec :
Greg Malcolm, guitares
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
. © Droits réservés
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Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
 
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
. © Droits réservés
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Benjamin Bondonneau est un musicien plasticien qui pétrit les matières sonores ou picturales avec la même puissance qu'il construit sa maison ou retourne sa terre de Dordogne. Improvisateur militant, il inscrit sa clarinette dans les contextes les plus divers, du solo intégral au Grand Ensemble… Un artiste en phase avec le réel qui apprécie plus que tout l'intimité du soliloque et la complicité d'un public à l'écoute.
 
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017

Ce programme fait suite à l’annulation de
À bras-le-corps en raison d’une blessure.

En prologue à la représentation du 4 février à l’Opéra de Rouen Normandie, Boris Charmatz et terrain proposent des extraits en solo et trio de 10000 gestes, interprétés par Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter.

Pour ce spectacle j’imagine une forêt chorégraphique dans laquelle aucun geste n’est jamais répété par aucun des danseurs en présence. 10000 gestes qui ne seront visibles qu’une seule fois, disparus aussitôt que tracés, comme une ode à l’impermanence de l’art de la danse. Cette pluie de mouvements, qui pourrait être un data-projet généré par des listes de paramètres numérisés seront au contraire générés artisanalement, à même le corps des interprètes, de manière absolument subjective. À l’hypnose visuelle de la boulimie de  mouvement correspondra un versant méditatif, voire mélancolique : le « don » de mouvements condamnés à la disparition symbolique. — Boris Charmatz
 

Chorégraphie : Boris Charmatz
Interprétation : Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter
Régie : Iannis Japiot
Matériaux sonores : Requiem en ré mineur K.626 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, direction Herbert von Karajan,
enregistré au Musikverein (Vienne) en 1986 (1987 Polydor International GmbH, Hambourg ; enregistrements de terrain par Mathieu Morel à Mayfield Depot, Manchester
Production et diffusion : terrain

terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France. Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.

Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

Danseur, chorégraphe et directeur artistique de terrain, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités.
De 2009 à 2018, Boris Charmatz dirige le Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, puis lance terrain, structure implantée dans la région Hauts-de-France en janvier 2019.
D’Aatt enen tionon (1996) à infini (2019), il signe un série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (notamment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal).
Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, il ycréé enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs.
Invité au MoMA (New York) en 2013, à la Tate Modern (Londres) en 2012 et 2015, à l’Opéra de Paris en 2015, il y présente des versions inédites et in situ des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits,
manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le XXe siècle.
Il signe également le projet Fous de danse, une invitation à vivre la danse sous toutes ses formes de midi à minuit dans l’espace public, qui connaîtra trois éditions à Rennes (2015, 2016 et 2018) et d’autres à Brest, Berlin et Paris (en 2017).
Boris Charmatz a été artiste associé de la Volksbühne durant la saison 2017-2018.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit

Le projet du Phare est porté par une équipe artistique, administrative et technique permanente et intermittente, qui oeuvre à la réalisation du festival Pharenheit. Nous remercions l’équipe du MuMa pour son engagement.
 
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017

Ce programme fait suite à l’annulation de
À bras-le-corps en raison d’une blessure.

En prologue à la représentation du 4 février à l’Opéra de Rouen Normandie, Boris Charmatz et terrain proposent des extraits en solo et trio de 10000 gestes, interprétés par Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter.

Pour ce spectacle j’imagine une forêt chorégraphique dans laquelle aucun geste n’est jamais répété par aucun des danseurs en présence. 10000 gestes qui ne seront visibles qu’une seule fois, disparus aussitôt que tracés, comme une ode à l’impermanence de l’art de la danse. Cette pluie de mouvements, qui pourrait être un data-projet généré par des listes de paramètres numérisés seront au contraire générés artisanalement, à même le corps des interprètes, de manière absolument subjective. À l’hypnose visuelle de la boulimie de  mouvement correspondra un versant méditatif, voire mélancolique : le « don » de mouvements condamnés à la disparition symbolique. — Boris Charmatz
 

Chorégraphie : Boris Charmatz
Interprétation : Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter
Régie : Iannis Japiot
Matériaux sonores : Requiem en ré mineur K.626 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, direction Herbert von Karajan,
enregistré au Musikverein (Vienne) en 1986 (1987 Polydor International GmbH, Hambourg ; enregistrements de terrain par Mathieu Morel à Mayfield Depot, Manchester
Production et diffusion : terrain

terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France. Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.

Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

Danseur, chorégraphe et directeur artistique de terrain, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités.
De 2009 à 2018, Boris Charmatz dirige le Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, puis lance terrain, structure implantée dans la région Hauts-de-France en janvier 2019.
D’Aatt enen tionon (1996) à infini (2019), il signe un série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (notamment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal).
Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, il ycréé enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs.
Invité au MoMA (New York) en 2013, à la Tate Modern (Londres) en 2012 et 2015, à l’Opéra de Paris en 2015, il y présente des versions inédites et in situ des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits,
manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le XXe siècle.
Il signe également le projet Fous de danse, une invitation à vivre la danse sous toutes ses formes de midi à minuit dans l’espace public, qui connaîtra trois éditions à Rennes (2015, 2016 et 2018) et d’autres à Brest, Berlin et Paris (en 2017).
Boris Charmatz a été artiste associé de la Volksbühne durant la saison 2017-2018.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit

Le projet du Phare est porté par une équipe artistique, administrative et technique permanente et intermittente, qui oeuvre à la réalisation du festival Pharenheit. Nous remercions l’équipe du MuMa pour son engagement.
 
Projection MuMaBoX
Projection MuMaBoX
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10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement. A bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, en posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, en proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole : donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue… Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fiers de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer la fin de cette dixième saison, nous vous proposons donc une sélection très (très) subjective de films ayant jalonné ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour, tout à la fois, clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.

Programme détaillé à venir
 
10e SAISON DE MUMABOX !
 
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.

* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
 
MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.

Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin

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