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. © Peter Miller / Light Cone
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !

Le Soleil dans les yeux
Dans un mouvement en contrepoint à NOCTURAMA, nous sortirons de la nuit électrique pour observer la course de l’astre solaire. De l’aube magique du solstice d’été saisie sur le site de Glastonbury Tor, haut lieu de la mythologie celtique, au crépuscule industriel, cliché du sunset, immortalisé par des millions de touristes et véhiculé par les réseaux sociaux, le Soleil imposera sa lumière sur l’écran de projection.
 
Programme :
Fergus Carmichael, A thin place, 2020, 12’00
Holly Fisher, Glass shadows, 1976, 13' 22
Jérôme Cognet, Le soleil tout entier ne se trouve nulle part, 2020, 12' 36
LIA, Three suns, 2012, 7' 50
Semiconductor, Brilliant Noise, 2006, 5’56
Peter Miller, Set, 2016, 10' 00
. © Arianne Olthaar
. © Arianne Olthaar
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !

Nocturama
En écho à l’exposition Nuits électriques s’étant tenue au MuMa du 3 juillet au 1er novembre 2020
 
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
 
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Parcours audioguidé Terres de Paroles
Parcours audioguidé Terres de Paroles

Dans le cadre du festival Terres de Paroles, le MuMa a accueilli et mené un projet de médiation auprès d'un groupe de jeunes adultes accompagnés par la Mission Locale du Havre. Après avoir sélectionné différents tableaux des collections permanentes, ils ont participé à des ateliers d'écriture qui leur ont permis de se familiariser avec les œuvres. Les textes produits en atelier ont ensuite été lus puis enregistrés au Studio Honolulu.

Accès au parcours

En savoir plus
Anonyme, Le Havre, l'hôtel de ville, vers 1900-1910, carte postale. Le Havre, Archives municipales
Anonyme, Le Havre, l'hôtel de ville, vers 1900-1910, carte postale. Le Havre, Archives municipales

Après l’expérimentation du gaz en 1835, Le Havre fait le choix de l’électricité en 1889 pour assurer l’éclairage de ses rues, suivant l’exemple donné par le port, doté d’un éclairage Jablochkoff en 1881. Dès lors, les artistes se saisissent de l’éclairage artificiel comme d’un nouveau motif pictural. Regards croisés sur l’éclairage urbain et portuaire havrais à partir d’un corpus d’œuvres réalisées au havre entre 1872 et 1903 et de documents des Archives municipales.

Conférence de Michaël Debris, coordinateur des expositions du MuMa et de Pierre Beaumont, directeur des Archives municipales

Organisé par le Pays d'Art et d'Histoire Le Havre Seine Métropole
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin

Geneviève Asse est identifiée aujourd’hui par une couleur incomparable, le « bleu Asse », dont elle décline les innombrables modulations. Pour ouvrir le dialogue et entrer en résonance avec l’une de ses œuvres, Ouverture II : la voix et les poèmes de Cécile Mainardi, la mer au loin… et la magie opère.
 
Cécile Mainardi est « exo-poète ». Parmi ses œuvres  poétiques : La Blondeur, Je suis une grande Actriste, L’Immaculé Conceptuel, Rose Activité Mortelle, Idéogrammes Acryliques... Autant d’ouvrages où elle tourne autour d’un point de sidération depuis lequel le langage ne semble renvoyer qu’à son propre mirage. Depuis cinq ans, elle concentre toutefois sa pratique du côté de l’image et de la situation parlée, comme si toute ses œuvres textuelles n'avaient été qu'un liminaire conceptuel à ce geste désormais décisif de déplacer le poème dans l'art.
 
Cécile Mainardi revisitera ici le bestiaire qu’elle n’a jamais voulu ni même pensé écrire, mais qui se trouve néanmoins diffracté dans ses différents ouvrages…
 
Un événement programmé dans le cadre du festival Terres de Paroles
James Whistler, Nocturne en noir et or-La boule de feu, 1875. Detroit
James Whistler, Nocturne en noir et or-La boule de feu, 1875. Detroit

Par Itzakh Goldberg, historien de l’art, critique d’art et commissaire d’exposition, spécialiste de l’art moderne et contemporain.

« A priori, tout oppose la nuit aux visées de la peinture. Cette discipline, qui tente de former au moins depuis la Renaissance une perception claire et cohérente de l'homme dans un environnement architectural ou naturel, a tout à craindre de la voie lactée qui oblitère les contours des formes et brouille les distances. Mais, curieusement, la composition picturale tracée par la perspective linéaire, évoque immédiatement un dispositif baptisé justement camera obscura, chambre noire.
Il faut toutefois attendre les romantiques pour qui la nuit - en réaction au siècle des Lumières ? -  met en scène le moment où les contours précis se perdent, où la réalité se dérobe à son apparence habituelle. Ce dialogue avec les zones obscures de la nature introduit pour la première fois l'intuitif, l’irrationnel, que l’on peut assimiler parfois à l'invisible, sera poursuivi par toute une partie de la modernité.
Cependant, une remarque s'impose immédiatement au sujet de la distinction entre nuit et obscurité. La nuit restera toujours un phénomène naturel, cyclique, tandis que l'obscurité, cette simple opacité de la lumière, peut se produire indépendamment de l'heure de la journée. Dans l'univers pictural il est souvent difficile de faire une différence entre l'obscurité ou tout simplement l'emploi massif de la couleur noire sur la toile. Cette difficulté, voire l'impossibilité de distinguer entre ces différents phénomènes, est la source d’une certaine ambiguïté mais aussi toute la richesse de ce thème.
La dissolution des formes qui s’estompent sous une lumière incertaine annonce l’avènement de la non-figuration. Le dialogue avec l’obscurité devient parfois prétexte pour une expérience radicale de la peinture (voire le Carrée noir sur blanc, 1915, de Malevitch). A l’aide d’exemples précis on suivra ce parcours dans la nuit. »
Itzakh Goldberg
Pierre Dubreuil, La Grande Roue des Tuileries, vers 1900, Épreuve à la gomme bichromatée, 20,7 x 18,9 cm. Paris. © Musée d'Orsay
Pierre Dubreuil, La Grande Roue des Tuileries, vers 1900, Épreuve à la gomme bichromatée, 20,7 x 18,9 cm. Paris. © Musée d'Orsay

Par François Blanchetière, Conservateur du patrimoine au Musée d’Orsay

« Si le paysage est la grande affaire de la peinture au XIXe siècle, on a jusqu'ici fort peu exploré son versant nocturne - une lacune que l'exposition « Nuits électriques » contribue à combler en s'attachant aux conséquences de l'apparition de l'éclairage électrique dans les villes.
La conférence proposera de la placer dans un contexte plus large, en examinant tout d'abord la tradition ancienne du paysage nocturne et les moyens plastiques mis en œuvre par les peintres pour rendre les effets lumineux spécifiques de la nuit. Ces effets ont dû être adaptés par les artistes quand l'éclairage artificiel s'est développé, et l'on verra que la cohabitation de lumières de différentes natures a donné des résultats tout à fait fascinants.
Enfin, nous examinerons la manière dont les photographes, pour leur part, ont tâché de s'approprier l'esthétique du paysage nocturne, dès lors que les techniques leur en ont donné la possibilité, dans une quête de « pictorialité » qui mérite certainement d'être revalorisée. » François Blanchetière
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Le MuMa vous ouvrira ses portes gratuitement tout le long du week-end et vous proposera différentes activités pour vous faire découvrir l’exposition Nuits électriques.
En raison des conditions sanitaires actuelles, la réservation de votre créneau de visite (libre ou commentée) reste obligatoire, ainsi que le port du masque !
 
 
 
 
 
 
Au programme :
- Visitez librement le musée, à votre rythme, et profitez-en si le cœur vous en dit pour vous laisser porter par la proposition originale d’audioguide « Voyage en Nuits électriques »
- Des visites commentées seront proposées tout au long du week-end. Sous la forme de courts focus, les médiatrices du MuMa mettront en lumière quelques thèmes essentiels de l’exposition par la présentation d’une ou deux œuvres.
- Pour tous ceux qui auront réservé une visite (libre ou commentée), vous pourrez profiter de l’atelier « Carton Pixel », en salle de conférence, et participer à la création d’une réalisation collective inspirée de nos Nuits électriques.

Dimanche 20 septembre
 
∆ De 11h à 19h
Carton Pixel
Carton Pixel s'installe au MuMa pour un atelier collectif « grandeur pixel » autour de l'œuvre Prismes électriques de Sonia Delaunay à partir de pixels fabriqués en cartons colorés.
 
Dans le cadre de leur projet « cartons numériques », Claire Le Breton et Simon Leroux ont imaginé un système de projection d’image sur un plateau permettant de recomposer un tableau en une version « pixelisée ».
Avant de réaliser l’image, il faut fabriquer la matière première ! A partir de d’emballages carton, chacun est invité à prendre part à la grande fabrique de mini-pixels. Grâce à différents outils conçus spécialement, des milliers de pixels sont ainsi découpés, triés par couleurs et enfin déposés sur le plateau pour reconstituer l’image choisie, tel un puzzle lumineux à composer.
 
http://www.lminuscule.com/carton-pixel-1-dufy-au-muma/
 
∆ 14h
Le Havre électrique
Tout au long du XIXe siècle, Paris s’illumine et devient la Ville Lumière que le monde entier admire. Mais qu’en est-il du Havre ? Cité portuaire et industrielle, transformer la nuit en jour est pour elle une nécessité. Les halos électriques guident les navires en mer et prolongent le travail à quai. Partons à la découverte des fascinantes lumières havraises que les artistes n’ont pas manqué de représenter.
Par Raphaëlle Marin
 
∆ 14h30
Nuits fauves
Qui mieux qu’un artiste peut être sensible à l’atmosphère nocturne des quartiers dédiés au plaisir au cœur d’une grande ville… Dans les pas de Théophile-Alexandre  Steinlen, de Jules Chéret ou de Pierre Bonnard, la rue parisienne, avec toutes ses foules de noctambules, se dévoile dans un jeu d’ombres et de lumières ; éclairée par la lueur des réverbères.
Par Karine Martin de Beaucé
 
∆ 15h
Caillebotte, Marville & les réverbères
Tout au long du XIXème siècle, les réverbères fleurissent sur les trottoirs parisiens et transforment le paysage urbain. Voyons comment le peintre Gustave Caillebotte et le photographe Charles Marville en ont fait le motif central de leurs œuvres.
Par Bénédicte Marin
 
∆ 15h30
Le Havre électrique
 
∆ 16h
Nuits fauves
 
∆ 16h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
 
∆ 17h
Le Havre électrique
 
∆ 17h30
Nuits fauves
 
∆ 18h
Caillebotte, Marville & les réverbères 
. ©Laurent Philippe
. ©Laurent Philippe
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Sous l’impulsion de l’Office du tourisme du Havre - Le Havre Etretat Tourisme, une nouvelle édition de la Nuit du tourisme s’organise. Elle sera l’occasion pour le MuMa de vous proposer deux rendez-vous exceptionnels et inédits, deux rendez-vous qui permettront chacun de faire l’expérience de nos Nuits électriques… de nuit !
 
  Attention,
le musée ne sera pas ouvert à la visite libre.
Tous les rendez-vous proposés pour l’occasion
se feront impérativement sur réservation.


A 21h30
Sprint in situ

Les nuits sont « électriques » dans les peintures qu’il est possible de découvrir en ce moment au MuMa ! Et c’est en écho à cet univers que nous avons imaginé une troisième nocturne. Cette fois-ci, invitation a été lancée Emmanuelle Vo-Dinh, chorégraphe et directrice du Phare, centre chorégraphique du Havre.
 
Pour le MuMa, Emmanuelle Vo-Dinh reprend une pièce emblématique de son répertoire, Sprint, qui met en scène Maeva Cunci dans un solo ombreux et énergique à la fois. Le souffle, la course,  à l’image de nos « nuits électriques », rythment et construisent l’espace.
Durée : 40 min. environ
 
A partir de 19h15
Des visites… dans le noir
Les médiatrices du MuMa vous proposent de découvrir l’exposition, toutes lumières éteintes. Elles  vous guideront à travers nos Nuits électriques petit groupe par petit groupe pour des visites inédites et originales : à la lampe torche, en chuchotant…
Durée : 30 min. environ

Détail des visites :
  • 19h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
  • 19h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
  • 20h15 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
  • 20h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
  • 21h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
  • 21h45 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
  • 22h15 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.
  • 22h45 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.

Au musée, dans la nuit, tout semble possible !

 
Présentation détaillée de Sprint in situ
La danse moderne a osé des choses formidables. Comme s'en tenir à un geste. Un seul. Ne s'attacher qu'à lui. Le mettre à l'épreuve. En tirer tous les possibles. Sprint, d'Emmanuelle Vo-Dinh est une course, "rien qu'une course" autour du plateau, dont son interprète proche, Maeva Cunci, relève le défi, cinquante minutes durant. Où le regard est tenu en haleine, sur une ligne de tension extrême, aux palpitations toujours relancées.
 
C'est le rythme implacable. Le souffle qui gronde. Le port de buste qui s'infléchit. La trajectoire qui dévie. La pause qui s'accorde. L'obstination qui se ressaisit. Le lâcher qui surgit. Et l'âme qui divague. Le but toujours enfui. Vienne la danseuse à s'accorder un long arrêt : alors un allant tournoyant rémanent continue d'empreindre le regard spectateur. Expérience saisissante. Où l'on craignait l'ennui, s'ouvre l'horizon, vertigineux.
 
Les variations de l'être, en ses gestes, sont infinies. L'accumulation, la répétition, en révèlent plus, et toujours d'autre encore. C'est qu'on n'a pas affaire à des artistes occupés à des simagrées, jouant un rôle et brodant de jolies figures. Dans Sprint, la vérité se donne entière à ce qu'on est en train d'éprouver.
 
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh
Interprétation : Maeva Cunci
Lumières et scénographie : Françoise Michel
Univers sonore : Olyphant
Costumes : Corine Petitpierre
Réalisation des costumes : Anne Tesson
 
Production : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie
Coproduction : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Centre National de la Danse (Pantin)
Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, est subventionné par la DRAC Normandie / Ministère de la Culture, la Région Normandie, la Ville du Havre et le Département de Seine-Maritime.
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Le MuMa vous ouvrira ses portes gratuitement tout le long du week-end et vous proposera différentes activités pour vous faire découvrir l’exposition Nuits électriques.
En raison des conditions sanitaires actuelles, la réservation de votre créneau de visite (libre ou commentée) reste obligatoire, ainsi que le port du masque !






Au programme :
- Visitez librement le musée, à votre rythme, et profitez-en si le cœur vous en dit pour vous laisser porter par la proposition originale d’audioguide « Voyage en Nuits électriques » 
- Des visites commentées seront proposées tout au long du week-end. Sous la forme de courts focus, les médiatrices du MuMa mettront en lumière quelques thèmes essentiels de l’exposition par la présentation d’une ou deux œuvres.
- Pour tous ceux qui auront réservé une visite (libre ou commentée), vous pourrez profiter de l’atelier « Carton Pixel », en salle de conférence, et participer à la création d’une réalisation collective inspirée de nos Nuits électriques.


Samedi 19 septembre
 
∆ De 14h à 19h
Carton Pixel
Carton Pixel s'installe au MuMa pour un atelier collectif « grandeur pixel » autour de l'œuvre Prismes électriques de Sonia Delaunay à partir de pixels fabriqués en cartons colorés.
 
Dans le cadre de leur projet « cartons numériques », Claire Le Breton et Simon Leroux ont imaginé un système de projection d’image sur un plateau permettant de recomposer un tableau en une version « pixelisée ».
Avant de réaliser l’image, il faut fabriquer la matière première ! A partir de d’emballages carton, chacun est invité à prendre part à la grande fabrique de mini-pixels. Grâce à différents outils conçus spécialement, des milliers de pixels sont ainsi découpés, triés par couleurs et enfin déposés sur le plateau pour reconstituer l’image choisie, tel un puzzle lumineux à composer.
 
http://www.lminuscule.com/carton-pixel-1-dufy-au-muma/
 
∆ 14h
Nuits fauves
Qui mieux qu’un artiste peut être sensible à l’atmosphère nocturne des quartiers dédiés au plaisir au cœur d’une grande ville… Dans les pas de Théophile-Alexandre  Steinlen, de Jules Chéret ou de Pierre Bonnard, la rue parisienne, avec toutes ses foules de noctambules, se dévoile dans un jeu d’ombres et de lumières ; éclairée par la lueur des réverbères.
Par Karine Martin de Beaucé
 
∆ 14h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
Tout au long du XIXème siècle, les réverbères fleurissent sur les trottoirs parisiens et transforment le paysage urbain. Voyons comment le peintre Gustave Caillebotte et le photographe Charles Marville en ont fait le motif central de leurs œuvres.
Par Bénédicte Marin
 
∆ 15h
Le Havre électrique
Tout au long du XIXe siècle, Paris s’illumine et devient la Ville Lumière que le monde entier admire. Mais qu’en est-il du Havre ? Cité portuaire et industrielle, transformer la nuit en jour est pour elle une nécessité. Les halos électriques guident les navires en mer et prolongent le travail à quai. Partons à la découverte des fascinantes lumières havraises que les artistes n’ont pas manqué de représenter.
Par Raphaëlle Marin
 
∆ 15h30
Nuits fauves
 
∆ 16h
Caillebotte, Marville & les réverbères
 
∆ 16h30
Le Havre électrique
 
∆ 17h
Nuits fauves
 
∆ 17h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
 
∆ 18h
Le Havre électrique 

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