CONCERT
Français

. © Caroline Robillard
En compagnie de Ambre, venez essayer un nouveau dispositif sonore au cœur de l’exposition Jacqueline Salmon. Du vent du ciel et de la mer : une écoute au creux de l’oreille, pour se laisser immerger dans l’univers créatif du collectif Alhambra Lab, inspiré pour cette création de celui de la photographe.
En partenariat avec L’Invitation au voyage.
En partenariat avec L’Invitation au voyage.
Date(s)
- 20 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Conservatoire Arthur Honegger
Par Mirella GIARDELLI
Le clavecin est un instrument de musique à cordes muni d'un ou plusieurs claviers dont chacune des cordes est pincée par un dispositif nommé sautereau (à la différence du piano où la corde est frappée par un marteau).
Il est l’instrument privilégié de la musique baroque, pour lequel les plus grands compositeurs de l’époque ont écrit : Bach, Scarlatti, Rameau…
Enseigné depuis septembre 2016 au Conservatoire Honegger, sa présence régulière au Havre va désormais permettre et faciliter l’éclosion d’une vie de la musique ancienne dans la cité océane.
L’instrument qui sera joué a été fabriqué en 2016 par le facteur néerlandais KLOP.
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger.
Le clavecin est un instrument de musique à cordes muni d'un ou plusieurs claviers dont chacune des cordes est pincée par un dispositif nommé sautereau (à la différence du piano où la corde est frappée par un marteau).
Il est l’instrument privilégié de la musique baroque, pour lequel les plus grands compositeurs de l’époque ont écrit : Bach, Scarlatti, Rameau…
Enseigné depuis septembre 2016 au Conservatoire Honegger, sa présence régulière au Havre va désormais permettre et faciliter l’éclosion d’une vie de la musique ancienne dans la cité océane.
L’instrument qui sera joué a été fabriqué en 2016 par le facteur néerlandais KLOP.
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger.

Date(s)
- 16 février 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Birds of paradise
« Autour de relevés de chants d'oiseaux d'Olivier Messiaen, les compositions d'Olivier Py créent un univers foisonnant, aux multiples couleurs, une musique faite d'improvisation organique autant que d'une profusion d'idées rythmiques et mélodiques…
Formé de complices de longue date aux parcours croisés, le trio “Birds of Paradise” invite à une musique joyeuse, intense et surprenante. Un jazz résolument contemporain à la liberté réinventée à chaque instant !
Après un premier album très bien accueilli et une série de beaux concerts, le deuxième album du groupe, « Black Fables » sortira au printemps 2017... »
« Olivier Messiaen déclarait : « Les oiseaux ont tout inventé, le chromatisme et le diatonisme, les quarts de tons, et même l’improvisation collective. »
En plus de son œuvre musicale, Olivier Messiaen a laissé un remarquable travail de relevés de chants d’oiseaux. Ce travail, omniprésent dans son langage musical, a inspiré de nombreuses pages de son œuvre et constitue un témoignage unique de son oreille sur cette nature musicale spontanée et colorée qu’il affectionnait tant.
Les compositions d’Olivier Py pour ce projet sont inspirées par certains fragments des transcriptions de Messiaen, ou dérivent plus librement de la vivacité de leur geste musical. Autour de ce matériel musical exceptionnel, les propositions varient : rythme, harmonie, timbres, formes,… comme autant de regards possibles sur cette matière foisonnante et sur les possibilités de la mettre en musique.
Le résultat est une musique multiple, un jazz résolument contemporain, à la fois libre et structuré par un vocabulaire exigeant. »
Olivier Py (Saxophones, compositions)
Franck Vaillant (Batterie) et Jean-Philippe Morel (Contrebasse)
Formé de complices de longue date aux parcours croisés, le trio “Birds of Paradise” invite à une musique joyeuse, intense et surprenante. Un jazz résolument contemporain à la liberté réinventée à chaque instant !
Après un premier album très bien accueilli et une série de beaux concerts, le deuxième album du groupe, « Black Fables » sortira au printemps 2017... »
« Olivier Messiaen déclarait : « Les oiseaux ont tout inventé, le chromatisme et le diatonisme, les quarts de tons, et même l’improvisation collective. »
En plus de son œuvre musicale, Olivier Messiaen a laissé un remarquable travail de relevés de chants d’oiseaux. Ce travail, omniprésent dans son langage musical, a inspiré de nombreuses pages de son œuvre et constitue un témoignage unique de son oreille sur cette nature musicale spontanée et colorée qu’il affectionnait tant.
Les compositions d’Olivier Py pour ce projet sont inspirées par certains fragments des transcriptions de Messiaen, ou dérivent plus librement de la vivacité de leur geste musical. Autour de ce matériel musical exceptionnel, les propositions varient : rythme, harmonie, timbres, formes,… comme autant de regards possibles sur cette matière foisonnante et sur les possibilités de la mettre en musique.
Le résultat est une musique multiple, un jazz résolument contemporain, à la fois libre et structuré par un vocabulaire exigeant. »
Olivier Py (Saxophones, compositions)
Franck Vaillant (Batterie) et Jean-Philippe Morel (Contrebasse)
Date(s)
- 15 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Ramon Lopez et Christine Wodrascka, Album Aux portes du matin, 2001
Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Christine Wodrascka, piano
Ramon Lopez, percussions
Ce duo existe depuis 2000 : leur premier concert a été leur premier enregistrement « Aux Portes du Matin » élu parmi les 100 meilleurs cd de l’année. Cette association est une évidence et ne se lasse pas de continuer d’exister.
« Ensemble, Christine Wodrascka et Ramon Lopez inventent avec souplesse et générosité de fascinants paysages tour à tour traversés d'une sombre et puissante énergie ou d'une mystérieuse intériorité. Dans leur univers poétique, le percuteur et le mélodiste ne sont pas (le plus souvent) celui ou celle que l'on croit. Entre les caisses, toms et fûts aux peaux soigneusement accordées et la foisonnante frénésie des cymbales de l’un, l'autre insinue la plénitude d'une syntaxe épanouie et libre sur le clavier et à l’intérieur de l’instrument, ainsi que l’expressivité de petites cellules percussives rythmées par une fougue et une sensibilité exceptionnelles. »
Gérard Rouy
Christine Wodrascka, piano
Ramon Lopez, percussions
Ce duo existe depuis 2000 : leur premier concert a été leur premier enregistrement « Aux Portes du Matin » élu parmi les 100 meilleurs cd de l’année. Cette association est une évidence et ne se lasse pas de continuer d’exister.
« Ensemble, Christine Wodrascka et Ramon Lopez inventent avec souplesse et générosité de fascinants paysages tour à tour traversés d'une sombre et puissante énergie ou d'une mystérieuse intériorité. Dans leur univers poétique, le percuteur et le mélodiste ne sont pas (le plus souvent) celui ou celle que l'on croit. Entre les caisses, toms et fûts aux peaux soigneusement accordées et la foisonnante frénésie des cymbales de l’un, l'autre insinue la plénitude d'une syntaxe épanouie et libre sur le clavier et à l’intérieur de l’instrument, ainsi que l’expressivité de petites cellules percussives rythmées par une fougue et une sensibilité exceptionnelles. »
Gérard Rouy
Date(s)
- 25 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Der Riss
Elise Dabrowski, voix, contrebasse
Claudine Simon, piano préparé
« Une contrebasse, une voix et un piano se donnent Rendez-vous pour improviser ensemble, et pourtant elles ne sont que deux sur scène. Le subterfuge, c'est Elise Dabrowski qui le crée en se dédoublant. Elle est chanteuse tout autant que contrebassiste, et ce n'est pas d'aujourd'hui... La pianiste Claudine Simon partage avec Elise Dabrowski l'art du dédoublement. Son piano, elle le bouscule et l'associe à des aventures et compagnonnages qui l'emmènent souvent vers la danse, le théâtre, le cinéma, la vidéo et les arts plastiques.
Riss, c’est le nom de ce nouveau duo formé. RISS comme faille ou fissure : la faille qui laisse entrer et circuler l’air et permet la communication entre quantité d’univers musicaux. Les deux musiciennes en effet n’ont pas envie de se fixer sur une approche de la musique et une seule. Ce qu’elles cultivent par dessus tout, ce sont les passerelles, les chemins croisés. » Anne Montaron
Création le 26/05/2016 à l’Atelier du Plateau à Paris dans le cadre du DA festival.
Der Riss
Elise Dabrowski, voix, contrebasse
Claudine Simon, piano préparé
« Une contrebasse, une voix et un piano se donnent Rendez-vous pour improviser ensemble, et pourtant elles ne sont que deux sur scène. Le subterfuge, c'est Elise Dabrowski qui le crée en se dédoublant. Elle est chanteuse tout autant que contrebassiste, et ce n'est pas d'aujourd'hui... La pianiste Claudine Simon partage avec Elise Dabrowski l'art du dédoublement. Son piano, elle le bouscule et l'associe à des aventures et compagnonnages qui l'emmènent souvent vers la danse, le théâtre, le cinéma, la vidéo et les arts plastiques.
Riss, c’est le nom de ce nouveau duo formé. RISS comme faille ou fissure : la faille qui laisse entrer et circuler l’air et permet la communication entre quantité d’univers musicaux. Les deux musiciennes en effet n’ont pas envie de se fixer sur une approche de la musique et une seule. Ce qu’elles cultivent par dessus tout, ce sont les passerelles, les chemins croisés. » Anne Montaron
Création le 26/05/2016 à l’Atelier du Plateau à Paris dans le cadre du DA festival.
Date(s)
- 26 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Laurent Matheron, saxophone
« Saxophoniste, il étend son instrumentarium en créant des sculptures sonores. Interprète, la musique contemporaine et la création sont ses terrains de jeu favoris. Il joue également le répertoire germanique de l'Entre-deux-guerres. Sa pratique de l'improvisation s'enrichit des univers sonores des compositeurs qu'il interprète, et il intéresse ces derniers aux sons inouïs de ses sculptures. François Rossé, Damien Charron, Philippe Laval, Bruno Giner ont écrit pour ses instruments. Il a étudié avec Alain Bouhey à l’École Normale de Musique de Paris (Diplôme Supérieur de Concertiste) et Yochk'o Seffer (l'initiateur du concept de sculptures sonores) et a été fortement marqué par leur recherche scriptorale. Membre de l'Ensemble de Saxophones Français, du Septuor de Saxophones, il est membre fondateur des ensembles Inscape et Hinterland. Il enseigne au conservatoire de Corbeil-Essonnes (91). La pédagogie de Robert Pichaureau est à la base de son enseignement. »
« Sans doute le solo permet-il de rassembler ce qui nous semble essentiel.
On emporte avec soi des saxophones, de vieux tubes, des partitions, deux ou trois textes, afin que quelques instants de musique nous traversent.
La musique de François Rossé, dont l'univers ne cesse de s'élargir à mesure qu'on le pratique, dialoguera avec les fantômes de Joseph Conrad ou de Varlam Chalamov. Mais peut-être le compositeur, à travers d'autres voix, aura-t-il le dernier mot... »
Laurent Matheron, saxophone
« Saxophoniste, il étend son instrumentarium en créant des sculptures sonores. Interprète, la musique contemporaine et la création sont ses terrains de jeu favoris. Il joue également le répertoire germanique de l'Entre-deux-guerres. Sa pratique de l'improvisation s'enrichit des univers sonores des compositeurs qu'il interprète, et il intéresse ces derniers aux sons inouïs de ses sculptures. François Rossé, Damien Charron, Philippe Laval, Bruno Giner ont écrit pour ses instruments. Il a étudié avec Alain Bouhey à l’École Normale de Musique de Paris (Diplôme Supérieur de Concertiste) et Yochk'o Seffer (l'initiateur du concept de sculptures sonores) et a été fortement marqué par leur recherche scriptorale. Membre de l'Ensemble de Saxophones Français, du Septuor de Saxophones, il est membre fondateur des ensembles Inscape et Hinterland. Il enseigne au conservatoire de Corbeil-Essonnes (91). La pédagogie de Robert Pichaureau est à la base de son enseignement. »
« Sans doute le solo permet-il de rassembler ce qui nous semble essentiel.
On emporte avec soi des saxophones, de vieux tubes, des partitions, deux ou trois textes, afin que quelques instants de musique nous traversent.
La musique de François Rossé, dont l'univers ne cesse de s'élargir à mesure qu'on le pratique, dialoguera avec les fantômes de Joseph Conrad ou de Varlam Chalamov. Mais peut-être le compositeur, à travers d'autres voix, aura-t-il le dernier mot... »
Date(s)
- 23 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Dans les arbres. © Andreas Ulvo
« Auteur de deux excellents disques aux enchantements magiques sans fin sur le très high standard label ECM, le quartet Dans Les Arbres délivre une musique à l’approche acoustique radicale, explorant et exposant de manière superbe des sonorités et textures sonnant souvent électroniques, voir composées. Le jeu et l’écoute des membres de Dans Les Arbres sont d’un niveau qualitatif rarement atteint.
Réunis autour de Ivar Grydeland et de Ingar Zach, tous deux agitateurs-activistes primordiaux de la scène norvégienne improvisée (créateurs entres autres de l’important label SOFA), et avec la présence de l’extraordinaire clarinettiste Xavier Charles (que l’on retrouve, entres autres, dans le The Ex Orchestra et le contest of pleasures) et le pianiste Christian Wallumrod (ECM), Dans Les Arbres combine une approche profondément et foncièrement intuitive, dans la meilleure veine du genre, avec des échos de Cage et de la New-York School. Une compréhension télépathique confondante avec pour résultat un projet considéré à juste titre comme un incontournable de la musique improvisée. »
Sixto de la cave 12, Genève
Christian Wallumrød (piano)
Ivar Grydeland (guitare)
Ingar Zach (percussions)
Xavier Charles (clarinette)
Réunis autour de Ivar Grydeland et de Ingar Zach, tous deux agitateurs-activistes primordiaux de la scène norvégienne improvisée (créateurs entres autres de l’important label SOFA), et avec la présence de l’extraordinaire clarinettiste Xavier Charles (que l’on retrouve, entres autres, dans le The Ex Orchestra et le contest of pleasures) et le pianiste Christian Wallumrod (ECM), Dans Les Arbres combine une approche profondément et foncièrement intuitive, dans la meilleure veine du genre, avec des échos de Cage et de la New-York School. Une compréhension télépathique confondante avec pour résultat un projet considéré à juste titre comme un incontournable de la musique improvisée. »
Sixto de la cave 12, Genève
Christian Wallumrød (piano)
Ivar Grydeland (guitare)
Ingar Zach (percussions)
Xavier Charles (clarinette)
Date(s)
- 18 février 2017
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Hélène Latour. © David Morganti
En partenariat avec l'Opéra de Rouen Normandie, plongeons au coeur de la relation entre le compositeur Maurice Ravel et l'écrivaine Colette. Au programme, le Quator à Cordes de Ravel, mais aussi des extraits de pièces de Georges Gershwin et des lectures d'extraits de la correspondance entre Colette et Ravel, ou bien encore de L'Enfant et les Sortilèges.
Téona Kharadze et Elena Pease (violons)
Patrick Dussart (alto)
Hélène Latour (violoncelle)
Patrick Foucher (comédien)
Téona Kharadze et Elena Pease (violons)
Patrick Dussart (alto)
Hélène Latour (violoncelle)
Patrick Foucher (comédien)
Date(s)
- 10 décembre 2016
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Duo Les Discordantes. © Droits réservés
"L’un dansait, l’autre soufflait ; ensemble, Pierre Doussaint et Steve Lacy avaient expérimenté. A la mémoire de ces artistes généreux, Mer d’adieux raconte une ultime rencontre, imaginaire, hommage au lien éternel entre danse et musique. Partition composée pour Safia Azzoug - saxophone soprano - et Amélie Grould - percussions, Mer d’adieux suite tente de répondre à la demande des interprètes de sons nouveaux, d’expérimentations originales, de transgression des frontières. Au risque de les décevoir, je pars de certains usages contemporains connus des instruments, pour mieux me focaliser sur une relation imbriquée de l’écrit et de l’improvisé, misant sur un enrichissement mutuel. Pour cela, je m’appuie sur les expériences en cours des interprètes, leur grande compétence en écrit contemporain et leur avidité à s’engager dans l’improvisation libre, en leur conférant ainsi le rôle d’interprètes-compositeurs. Comme à l’accoutumée, la partition comprend un minimum de signes pour laisser la place au partage des imaginaires. De surcroît, noté n’est pas sacré; toute indication sera modifiable par les interprètes, à la condition que - pour éviter le hors-sujet - ce soit une véritable décision, prise après avoir essayé la proposition originale et en avoir compris l’intention. Mer d’adieux suite explore cinq paysages, leurs contrastes, leurs définitions, leurs profondeurs de champ, leurs couleurs. Cinq formes de notation, de l’académique à la graphique, jusqu’à l’absence totale de signes pour le temps d’improvisation libre où seul l’état des musiciens au moment choisi importera, escompte d’un aboutissement des sons joués au préalable. L’intention de ce double hommage s’inscrit dans la recherche conjointe, sereine et paisible d’une harmonie, dans le bonheur exemplaire et sans cesse renouvelé de la construction de soi et du partage de l’acte créatif. Mais l’indécence des possédants, le cynisme politique, l’obscurantisme religieux produisent encore et toujours de la barbarie. A mes yeux, toute proposition esthétique prétendant dépasser le simple stade de la spéculation intellectuelle n’a de sens qu’ancrée dans la société censée la recevoir; le bruit et la fureur ne seront donc pas toujours contenus au cours de ce voyage sonore."
Jean-Paul Buisson
En partenariat avec l'AMH
Jean-Paul Buisson
En partenariat avec l'AMH
Date(s)
- 19 janvier 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.