CONCERT

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Contes en musique. © Opéra de Rouen Normandie
Contes en musique. © Opéra de Rouen Normandie
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Retour en enfance avec des contes illustrés par des œuvres musicales pour hautbois et basson : une plongée dans l’enfance pour s’immerger dans la magie des notes et des mots.
Dans le très british Jack et le Haricot magique Jack et sa mère deviennent riches grâce à un fayot, dans le conte traditionnel La Petite Princesse ratonne c’est un rat qui cherche le mari le plus puissant pour sa fille, et dans l’histoire célèbre du vilain petit canard, celui-ci est mis à l’écart à cause de sa différence… quel enfant n’aime pas qu’on lui raconte des histoires ?
 
Avec
Jérôme Laborde
Fabrice Rousson (hautbois)
Batiste Arcaix (basson)
Marie-Hélène Garnier (comédienne)
 
Programme détaillé des contes mis en musique :
La Petite Princesse Ratonne, conte traditionnel
Le vilain petit canard, de Hans Christian Andersen
Jack et le Haricot Magique, conte populaire anglais
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Toujours dans le cadre de À l’école de Charles Lhullier, le MuMa invite le pianiste Daniel Isoir pour un programme conçu autour de figures telles que César Franck ou Gabriel Fauré, et avec pour fil conducteur la notion de transmission. Un programme en construction à l’heure où nous publions ces lignes, et donc sous réserve de modifications.
Avec Daniel Isoir
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin

Dans le cadre de l’exposition consacrée à Charles Lhullier, le MuMa a souhaité faire un clin d’œil au Café des Turcos, un tableau peint par l’artiste entre 1867 et 1868. Les accents orientalistes de cette œuvre renvoient au goût dont a fait preuve toute une époque pour un ailleurs, plus ou moins lointain, direction le Sud et l’Est. Au-delà de l’exotisme, c’est un intérêt pour « l’Autre », sa culture, ses traditions… qui transparaît.
 
Avec pour point de départ la Sonate pour flûte, alto et harpe de Debussy, œuvre emblématique impressionniste et fondatrice pour cette formation si riche en nuances et couleurs, le concert chemine entre les siècles et les continents.
Les regards tournés vers le passé, Saint Saëns et la fin du XIXème siècle, et le romantisme français.
Et projections dans l'avenir et l'ailleurs avec l'univers poétique du japonais Toru Takemitsu et son trio And Then I Knew it was Wind, évocation des attributs du vent dans le monde naturel et dans notre inconscient.
 
Avec Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi.
Hélène Bordeaux (à gauche), Emmanuel Pleintel (centre) et Tatsiana Dahan (à droite)
Hélène Bordeaux (à gauche), Emmanuel Pleintel (centre) et Tatsiana Dahan (à droite)

Un concert concocté par l’Opéra de Rouen Normandie
 

Ce concert-lecture brosse le portrait du couple Schumann à travers leur musique, mais aussi leur correspondance avec leur ami Johannes Brahms.
 
À eux deux, ils constituent un duo d’exception : Robert Schumann et son épouse Clara Wieck sont tous deux virtuoses du piano et compositeurs, même si, conventions du XIXe siècle obligent, la musicienne doit mettre ses ambitions créatrices sous le boisseau. Lorsqu’un certain Johannes Brahms vient présenter ses œuvres à son aîné et le bluffe par ses talents, le duo devient trio. À la mort de Robert Schumann, Clara ne cessera de défendre l’œuvre de son époux tandis que Johannes, ébloui, ne cessera d’entretenir une correspondance avec elle.
La musique de Schumann et de Brahms, d’un lyrisme fervent, exprime les tourments et les joies du cœur tandis que les Romances de Clara traduisent sa tendresse. Avec en écho des extraits de leurs lettres et journaux intimes, c’est l’intimité de trois grands musiciens qui se dessine, pour une exquise plongée dans le romantisme allemand.
 
Avec Hélène Bordeaux (violon), Tatsiana Dahan (piano) et Emmanuel Pleintel (récitant).
 
Au programme :
Johannes Brahms : 3ème sonate
Robert Schumann : 2ème sonate (extrait)
Clara Schumann : Romances
Robert Schumann : Romances et extraits de pièces pour piano seul
Extraits des correspondances et journaux intimes de Clara Wieck-Schumann, Robert Schumann et Johannes Brahms
. © Droits réservés
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Le Festival PiedNu se transforme et devient Pour les oiseaux. Et le MuMa continue de l’accompagner en accueillant deux duos pour deux concerts qui promettent de beaux échanges, avec la clarinette en fil conducteur.


Dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
Complices dans différents ensembles de musiques improvisées (OKGB, l'Oeil Kollectif, Escargot, DIE), Louis Frères et Xavière Fertin explorent les recoins les plus inouïs de leurs instruments.
Au sein de ce duo, les timbres de la basse électrique et de la clarinette se confondent, se frictionnent, s'entrechoquent pour finalement créer une seule masse sonore en perpétuel devenir.
 
Autre recontre musicale : jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
. © Droits réservés
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Le Festival PiedNu se transforme et devient Pour les oiseaux. Et le MuMa continue de l’accompagner en accueillant deux duos pour deux concerts qui promettent de beaux échanges, avec la clarinette en fil conducteur.


Jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
La rencontre entre une accordéoniste et un clarinettiste, sur le terrain de l'exploration des sons aux mélanges multiples des instruments utilisés (accordéon, clarinettes et saxophone soprano), le tout dans le champ contemporain d'une improvisation toujours à l'écriture, n'allait pas de soi !
Le chemin est tracé, le débroussaillage a eu lieu et l'objectif d'un enregistrement en studio, après quelques présentations publiques, s'annonce !
Les différents et nombreux registres de l'accordéon s'accordent aux sonorités variées des instruments à vent choisis dans une recherche de nouveaux horizons sonores.
 
Autre recontre musicale : le dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
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Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à  une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à  penser que chaque son obéit à  un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
 
Avec :
Greg Malcolm, guitares
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
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Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
 
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
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Benjamin Bondonneau est un musicien plasticien qui pétrit les matières sonores ou picturales avec la même puissance qu'il construit sa maison ou retourne sa terre de Dordogne. Improvisateur militant, il inscrit sa clarinette dans les contextes les plus divers, du solo intégral au Grand Ensemble… Un artiste en phase avec le réel qui apprécie plus que tout l'intimité du soliloque et la complicité d'un public à l'écoute.
 
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
Waveparty. © Laurent Philippe
Waveparty. © Laurent Philippe

Dans le cadre du Festival Pharenheit en vue de la préparation de la Waveparty* proposée dans le cadre du festival le samedi 8 février 2020.
 
Le Before
David Monceau (Olyphant), qui a composé la musique de la Waveparty à partir de musiques existantes, revient sur le procédé de transformation et de métamorphose de chacun des morceaux afin de créer continuité et fluidité ! Pour ce « Before Wavebreak » nous écouterons ainsi le grand mix opéré pour la transe finale de la Waveparty !
 
Le Wavebreak
Pour vous préparer à la Waveparty proposée dans le cadre du Festival Pharenheit, différents temps de transmission sont proposés les jours qui précèdent la soirée de clôture pour vous permettre de découvrir à chaque fois deux danses différentes qui composeront cette « transe participative » d’Emmanuelle Vo-Dinh pour la clôture du festival Pharenheit…
 
Renseignements auprès du Phare au 02 35 26 23 00 ou contact@lephare-ccn.fr
 
* Waveparty est né pendant le festival Pharenheit de l'an passé. Superbe succès. Waveparty revient conclure le festival 2020. Alors Waveparty s'enrichit. On a donc une party : chacun, chacune, est invité à rentrer dans la danse. Waveparty est une joyeuse expérience à vivre, plutôt qu'un spectacle auquel assister. On y goûte à la wave. La vague : cette houle des corps, ce chaloupé des émotions, qui, à force de répétitions, au fil des variations, débouchent sur une sorte de transe. Nul besoin d'une quelconque expertise en danse pour se jeter dans ce flux. C'est une traversée, débordante d'énergie. La soirée se pare du rituel du maquillage. C'est pour mieux intégrer cette joyeuse tribu ! Un atelier préalable est conseillé : juste deux heures pour assimiler des pas, des figures très simples, inventés par Emmanuelle Vo-Dinh. Elles s’intitulent Vagues, Totem, Sacre, Flower Power… Il n'est aucune sensation qui n'éveille tout un imaginaire. Grisant. Flotter, s'élancer, surfer : tous ensemble vers un bonheur partagé au sommet de la soirée.
— Gérard Mayen

En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit sur : www.pharenheit.fr

 

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