CONCERT
Français

Les Discordantes Augmentées
Les Discordantes « augmentées »
Revisiter l'Histoire des industries dans leur période florissante allant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, leur activité, leurs atmosphères, autour desquels des bassins de vie se sont créés, rythmant la vie de plusieurs générations de Normands, a permis au trio Les Discordantes Augmentées, par une immersion totale sur des sites encore en activité, de retracer l'activité dense de cette époque à travers le son.
S'inscrire dans un aspect de la démarche de Reynold Arnould, à savoir rendre l'art accessible à toutes les couches de la société, et tenter de retranscrire l'ambiance sonore des ateliers d'usine dans un objectif de transmission aux jeunes générations, tel est le défi que s'est lancé le trio en créant cette pièce de musique mixte sous forme de performance nourrie de témoignages et de sons collectés dans le milieu industriel normand.
La performance s'inspire des répertoires et techniques issus des musiques nouvelles : musique contemporaine, expérimentale, improvisée, électro-acoustique et acousmatique.
Safa Azzoug, saxophones
Amélie Grould, percussions
Hubert Michel, électronique
Revisiter l'Histoire des industries dans leur période florissante allant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, leur activité, leurs atmosphères, autour desquels des bassins de vie se sont créés, rythmant la vie de plusieurs générations de Normands, a permis au trio Les Discordantes Augmentées, par une immersion totale sur des sites encore en activité, de retracer l'activité dense de cette époque à travers le son.
S'inscrire dans un aspect de la démarche de Reynold Arnould, à savoir rendre l'art accessible à toutes les couches de la société, et tenter de retranscrire l'ambiance sonore des ateliers d'usine dans un objectif de transmission aux jeunes générations, tel est le défi que s'est lancé le trio en créant cette pièce de musique mixte sous forme de performance nourrie de témoignages et de sons collectés dans le milieu industriel normand.
La performance s'inspire des répertoires et techniques issus des musiques nouvelles : musique contemporaine, expérimentale, improvisée, électro-acoustique et acousmatique.
Safa Azzoug, saxophones
Amélie Grould, percussions
Hubert Michel, électronique
Date(s)
- 16 janvier 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © ManLef
A l’occasion du festival Piano is not dead, et en écho à l’ouverture prochaine de l’exposition temporaire du MuMa consacrée à Reynold Arnould, le MuMa invite le duo Iana pour une expérience musicale hors-norme autour de deux pianos.
« En ce début du XXIe siècle, bousculer les consciences demeure indispensable. Quand tout est design-é, aseptisé et sous contrôle, la beauté de l’aspérité, la plongée dans le bienveillant inconnu restent de mise. Loin de tomber dans l’incantation, Iana préfère la décantation, le dé-chanté à l’en-chanté – ou plutôt l’en-chantier à l’enchanté. L’entendement s’y voit chahuté, l’inconscient décrypte tout absolument.
Deux femmes, porteuses d’histoires musicales polychromes. Deux pianos, formation dont les potentialités sont loin d’avoir été toutes révélées. Deux parcours aux tracés apparemment parallèles, mais qui convergent vers un même horizon, leur domaine de prédilection se rapprochant sans cesse depuis un demi-siècle – Christine Wodrascka est une figure fameuse des scènes de l’improvisation libre, attirée par la musique contemporaine, pendant que la fréquentation des œuvres de Ligeti, Cage, Crumb, Harvey, etc. a porté tout naturellement Betty Hovette hors des portées fixes de la partition écrite.
Leur rencontre s’est d’abord apparentée à un laboratoire de recherche musicale ayant vite mis en évidence une nécessité commune : occuper l’espace sonore par des moyens minimaux – non sans aller jusqu’à la démarche des minimalistes américains – en évitant tout éparpillement ; mais aussi aller au bout d’une intention de jeu par l’exploration obsessionnelle d’un geste, d’une grappe sonore, etc. Cela pour un déploiement d’énergie sans dérive ni complaisance. Se trouve alors mise en jeu par les musiciennes une certaine forme d’endurance physique, avec l’espoir de susciter chez l’auditeur son écoute la plus active.
Iana met également en acte un décloisonnement des genres et des univers musicaux, une recherche transidiomatiques, dé-compartimentée, que rien ne comprime : autant au travers qu’en travers !
Leurs improvisations ne « disent » rien. L’intention n’est pas de « raconter une histoire ». Elles se contentent de mettre en jeu des complexions sonores, de faire se télescoper des particules de musique formant un noyau insolite pour engendrer tout un monde lointain, laissant toute latitude à l’auditeur pour greffer ses propres fantasmagories. »
Extrait du dossier de présentation
Duo Iana :
Christine Wodrascka et Betty Hovette, pianos
Dans le cadre du festival Piano is not dead
Le MuMa tient à remercier Paul-Etienne Berlioz, facteur et accordeur de piano, créateur et partenaire essentiel de ce festival, ainsi que le festival PiedNu, et en particulier Emmanuel Lalande et Joël Pagier pour leurs belles suggestions.
« En ce début du XXIe siècle, bousculer les consciences demeure indispensable. Quand tout est design-é, aseptisé et sous contrôle, la beauté de l’aspérité, la plongée dans le bienveillant inconnu restent de mise. Loin de tomber dans l’incantation, Iana préfère la décantation, le dé-chanté à l’en-chanté – ou plutôt l’en-chantier à l’enchanté. L’entendement s’y voit chahuté, l’inconscient décrypte tout absolument.
Deux femmes, porteuses d’histoires musicales polychromes. Deux pianos, formation dont les potentialités sont loin d’avoir été toutes révélées. Deux parcours aux tracés apparemment parallèles, mais qui convergent vers un même horizon, leur domaine de prédilection se rapprochant sans cesse depuis un demi-siècle – Christine Wodrascka est une figure fameuse des scènes de l’improvisation libre, attirée par la musique contemporaine, pendant que la fréquentation des œuvres de Ligeti, Cage, Crumb, Harvey, etc. a porté tout naturellement Betty Hovette hors des portées fixes de la partition écrite.
Leur rencontre s’est d’abord apparentée à un laboratoire de recherche musicale ayant vite mis en évidence une nécessité commune : occuper l’espace sonore par des moyens minimaux – non sans aller jusqu’à la démarche des minimalistes américains – en évitant tout éparpillement ; mais aussi aller au bout d’une intention de jeu par l’exploration obsessionnelle d’un geste, d’une grappe sonore, etc. Cela pour un déploiement d’énergie sans dérive ni complaisance. Se trouve alors mise en jeu par les musiciennes une certaine forme d’endurance physique, avec l’espoir de susciter chez l’auditeur son écoute la plus active.
Iana met également en acte un décloisonnement des genres et des univers musicaux, une recherche transidiomatiques, dé-compartimentée, que rien ne comprime : autant au travers qu’en travers !
Leurs improvisations ne « disent » rien. L’intention n’est pas de « raconter une histoire ». Elles se contentent de mettre en jeu des complexions sonores, de faire se télescoper des particules de musique formant un noyau insolite pour engendrer tout un monde lointain, laissant toute latitude à l’auditeur pour greffer ses propres fantasmagories. »
Extrait du dossier de présentation
Duo Iana :
Christine Wodrascka et Betty Hovette, pianos
Dans le cadre du festival Piano is not dead

Date(s)
- 28 novembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
LIEN EXTERNE

Pauline Lambert
Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Pauline Lambert consacrera ses interventions à JS. Bach avec la Suite en ré mineur pour violoncelle seul.
Pauline Lambert à propos de son choix de pièce pour violoncelle :
« La deuxième Suite en ré mineur pour violoncelle seul de Jean-Sébastien BACH est extraite des 6 suites pour violoncelle seul, œuvre majeure du répertoire pour violoncelle de l’époque baroque. Cette suite respecte le schéma traditionnel des suites de Bach et se compose d’un prélude suivi de trois mouvements de danses stylises (une allemande, une courante, une sarabande), puis de deux menuets. La suite s’achève sur une gigue. Le prélude est imprègné de mélancolie et annonce les mouvements contrastes de chaque pièce qui compose la Suite. »
Horaires des concerts de Pauline Lambert :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Pauline Lambert consacrera ses interventions à JS. Bach avec la Suite en ré mineur pour violoncelle seul.
Pauline Lambert à propos de son choix de pièce pour violoncelle :
« La deuxième Suite en ré mineur pour violoncelle seul de Jean-Sébastien BACH est extraite des 6 suites pour violoncelle seul, œuvre majeure du répertoire pour violoncelle de l’époque baroque. Cette suite respecte le schéma traditionnel des suites de Bach et se compose d’un prélude suivi de trois mouvements de danses stylises (une allemande, une courante, une sarabande), puis de deux menuets. La suite s’achève sur une gigue. Le prélude est imprègné de mélancolie et annonce les mouvements contrastes de chaque pièce qui compose la Suite. »
Horaires des concerts de Pauline Lambert :
- Dimanche 22 septembre à 17h30
- Dimanche 22 septembre à 18h30
Date(s)
- 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité. Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
LIEN EXTERNE

Raoul DUFY (1877-1953), Le Violon rouge, 1949, huile sur toile, 22,5 x 27,5 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel — © ADAGP, Paris, 2013
Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter la Première sonate pour violon, presto de JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement de GP Telemann.
Horaires des concerts de Clara Delafosse :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter la Première sonate pour violon, presto de JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement de GP Telemann.
Horaires des concerts de Clara Delafosse :
- Dimanche 22 septembre à 14h30
- Dimanche 22 septembre à 15h30
- Dimanche 22 septembre à 16h30
Date(s)
- 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité. Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
LIEN EXTERNE

. © Playground Paris
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Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine qui auront pour thème cette année Arts et Divertissements !
Programme détaillé :
SAMEDI
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
Double programme de visites en ce samedi des Journées du Patrimoine 2019 : les rendez-vous de 14h, 15h, 16h, 17h et 18h seront consacrés à l’exposition en cours mettant à l’honneur le peintre Raoul Dufy.
Les créneaux de 14h30, 15h30, 16h30, 17h30 et 18h30 permettront, quant à eux, de mettre en lumière les œuvres nouvellement arrivées dans les collections du MuMa : une peinture de Georges Braque léguée par Florence Malraux et un tableau d’Albert Marquet acquis grâce à un financement exceptionnel.
Thèmes des visites :
Horaires des visites :
DIMANCHE
Musique
Gratuit - Durée : 15-20 min. chaque session - Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir ainsi que Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles.
En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, les interprètes vous proposeront de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter des extraits de Telemann. Quant à Pauline Lambert, c’est à Bach qu’elle consacrera ses interventions.
Horaires des concerts :
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
L’actualité du MuMa, c’est bien sûr l’exposition Dufy au Havre qui se poursuit. L’une des visites proposées ce dimanche des Journées du Patrimoine sera l’occasion de revenir sur l’histoire du legs que l’épouse du peintre a rendu possible et qui s’est avéré être une chance exceptionnelle pour l’enrichissement des collections du musée.
Et justement, autre actualité marquante pour le MuMa, une nouvelle œuvre, acquise récemment, vient compléter un ensemble déjà conséquent d’œuvres d’Albert Marquet. Une autre visite sera donc consacrée au peintre et à ses quelques peintures présentes actuellement sur nos cimaises.
Horaires des visites :
Programme détaillé :
SAMEDI
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
Double programme de visites en ce samedi des Journées du Patrimoine 2019 : les rendez-vous de 14h, 15h, 16h, 17h et 18h seront consacrés à l’exposition en cours mettant à l’honneur le peintre Raoul Dufy.
Les créneaux de 14h30, 15h30, 16h30, 17h30 et 18h30 permettront, quant à eux, de mettre en lumière les œuvres nouvellement arrivées dans les collections du MuMa : une peinture de Georges Braque léguée par Florence Malraux et un tableau d’Albert Marquet acquis grâce à un financement exceptionnel.
Thèmes des visites :
- Dufy et les monuments havrais par Bénédicte Marin
- En matière de matière ! par Jeanne Busato
- Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
Horaires des visites :
- 14h - 16h - 18h : Dufy et les monuments havrais par Bénédicte Marin
- 14h30 - 16h30 - 18h30 : En matière de matière ! par Jeanne Busato
- 15h - 17h : Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- 15h30 - 17h30 : Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
DIMANCHE
Musique
Gratuit - Durée : 15-20 min. chaque session - Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir ainsi que Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles.
En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, les interprètes vous proposeront de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter des extraits de Telemann. Quant à Pauline Lambert, c’est à Bach qu’elle consacrera ses interventions.
Horaires des concerts :
- 14h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 15h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 16h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 17h30 : Pauline Lambert, Suite en ré mineur pour violoncelle seul, JS Bach
- 18h30 : Pauline Lambert, Suite en ré mineur pour violoncelle seul, JS Bach
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
L’actualité du MuMa, c’est bien sûr l’exposition Dufy au Havre qui se poursuit. L’une des visites proposées ce dimanche des Journées du Patrimoine sera l’occasion de revenir sur l’histoire du legs que l’épouse du peintre a rendu possible et qui s’est avéré être une chance exceptionnelle pour l’enrichissement des collections du musée.
Et justement, autre actualité marquante pour le MuMa, une nouvelle œuvre, acquise récemment, vient compléter un ensemble déjà conséquent d’œuvres d’Albert Marquet. Une autre visite sera donc consacrée au peintre et à ses quelques peintures présentes actuellement sur nos cimaises.
Horaires des visites :
- 14h - 16h - 18h : Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- 15h - 17h : Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
Date(s)
- du 21 septembre 2019 au 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité.
LIEN EXTERNE

Dessin original de Gaël Dezothez
- -
S’inspirant des toiles de Dufy, lui-même grand voyageur, une conteuse et un musicien proposent aux enfants et à leurs parents de partir en mer depuis la plage de Sainte Adresse…
Après quelques détours contés par la cité océane d’hier et d’aujourd'hui, embarquez à bord du fameux Cargo noir, pour quelques voyages aux destinations mystérieuses comme l’île des N'ont qu’un œil et autres récits insolites…
Oreilles emportées par le vent des contes, n’oubliez pas de les réclamer en partant…
Contes : Muriel Bloch
Musiques : João Mota
En partenariat avec les Rencontres d’été – théâtre et lecture en Normandie
Biographies
Muriel Bloch est conteuse et auteure de nombreux recueils de contes. Elle a publié une trentaine de livres (Gallimard, Seuil, Syros, Naïve, Magnard, Thierry Magnier) et participe au renouveau du conte en France dès 1979. Elle raconte seule ou en musique, pour petits et grands, des contes du monde entier, mêlant des contes d’origine populaire et des contes littéraires, comme ceux du Cabinet des fées, ou des récits empruntés à la littérature. Elle anime des ateliers dans les théâtres, médiathèques, écoles… et travaille pour la radio, la télévision et des festivals en tant que programmatrice.
João Mota est né à Gabu, en République de Guinée-Bissau d’une mère peule et d’un père portugais. Après avoir été membre du célèbre Orquestra Super Mama Djombo, puis de l’Orchestra Produçao N’Kassa Cobra, il est contraint de quitter son pays en 1985. Il poursuit sa carrière au Portugal où il accompagne le grand chanteur Bana, puis en France auprès du Cabo Verdi Show, de Cesaria Evora, de Sam Mangwana, Manu Di Bango, les Touré Kounda, Fred Laser, Salif Keita, Sally Nyolo, les Gars de Kaliman, Angélique Kidjo...
Après quelques détours contés par la cité océane d’hier et d’aujourd'hui, embarquez à bord du fameux Cargo noir, pour quelques voyages aux destinations mystérieuses comme l’île des N'ont qu’un œil et autres récits insolites…
Oreilles emportées par le vent des contes, n’oubliez pas de les réclamer en partant…
Contes : Muriel Bloch
Musiques : João Mota
En partenariat avec les Rencontres d’été – théâtre et lecture en Normandie
Biographies
Muriel Bloch est conteuse et auteure de nombreux recueils de contes. Elle a publié une trentaine de livres (Gallimard, Seuil, Syros, Naïve, Magnard, Thierry Magnier) et participe au renouveau du conte en France dès 1979. Elle raconte seule ou en musique, pour petits et grands, des contes du monde entier, mêlant des contes d’origine populaire et des contes littéraires, comme ceux du Cabinet des fées, ou des récits empruntés à la littérature. Elle anime des ateliers dans les théâtres, médiathèques, écoles… et travaille pour la radio, la télévision et des festivals en tant que programmatrice.
João Mota est né à Gabu, en République de Guinée-Bissau d’une mère peule et d’un père portugais. Après avoir été membre du célèbre Orquestra Super Mama Djombo, puis de l’Orchestra Produçao N’Kassa Cobra, il est contraint de quitter son pays en 1985. Il poursuit sa carrière au Portugal où il accompagne le grand chanteur Bana, puis en France auprès du Cabo Verdi Show, de Cesaria Evora, de Sam Mangwana, Manu Di Bango, les Touré Kounda, Fred Laser, Salif Keita, Sally Nyolo, les Gars de Kaliman, Angélique Kidjo...
Date(s)
- 10 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Elfie Bonnardel . © Opéra de Rouen Normandie
- -
Les compositeurs de musique dite « savante » ne dédaignent pas les formes populaires ou folkloriques. Elles deviennent même parfois de remarquables sources d’inspiration.
Malcolm Arnold, cela ne vous dit rien ? Mais si, bien sûr ! C’est lui qui a composé la musique du Pont de la rivière Kwai pour laquelle il reçut un Oscar. Moins connus mais tout aussi séduisants, ses Three Shanties puisent leurs racines dans les chants marins populaires, dans une partition burlesque et plaisante. A l’origine pour violon et piano, la pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel, réarrangé par Clarke Kessler, revisite cette œuvre aux impressions hispaniques, en une version pour quintette à vents. C’est à l’Amérique du Sud que nous évoque la suite Belle époque de Julio Medaglia, traversée par un tango, une valse et un « chorinho ». Retour en Europe avec Ferenc Farkas qui s’inspire de danses hongroises du XVIIe siècle pour tenter de « recréer un style baroque hongrois « provincial » ». Un tour du monde des instruments à vents !
Au programme :
Three Shanties de Malcolm Arnold
Pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel
Danses hongroises du XVIIe siècle de Ferenc Farkas
Suite « Belle époque in Sud America » de Julio Medaglia
Avec :
Kouchyar Shahroudi à la flûte
Fabrice Rousson au hautbois
Naoko Yoshimura à la clarinette
Elfie Bonnardel au basson
Eric Lemardeley au cor
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Malcolm Arnold, cela ne vous dit rien ? Mais si, bien sûr ! C’est lui qui a composé la musique du Pont de la rivière Kwai pour laquelle il reçut un Oscar. Moins connus mais tout aussi séduisants, ses Three Shanties puisent leurs racines dans les chants marins populaires, dans une partition burlesque et plaisante. A l’origine pour violon et piano, la pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel, réarrangé par Clarke Kessler, revisite cette œuvre aux impressions hispaniques, en une version pour quintette à vents. C’est à l’Amérique du Sud que nous évoque la suite Belle époque de Julio Medaglia, traversée par un tango, une valse et un « chorinho ». Retour en Europe avec Ferenc Farkas qui s’inspire de danses hongroises du XVIIe siècle pour tenter de « recréer un style baroque hongrois « provincial » ». Un tour du monde des instruments à vents !
Au programme :
Three Shanties de Malcolm Arnold
Pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel
Danses hongroises du XVIIe siècle de Ferenc Farkas
Suite « Belle époque in Sud America » de Julio Medaglia
Avec :
Kouchyar Shahroudi à la flûte
Fabrice Rousson au hautbois
Naoko Yoshimura à la clarinette
Elfie Bonnardel au basson
Eric Lemardeley au cor
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Date(s)
- 06 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Paul-Marie BEAUNY. © Juliette Le Maoult
Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture.
Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Et pour clore ce cycle, Wolfgang Amadeus Mozart sera au chœur d’un programme pour quatuor à cordes imaginé par le violoniste habitué du MuMa, Paul-Marie Beauny. L’instrumentiste réunira pour l’occasion un quatuor inédit et pour lequel il envisage un moment de musique directement relié à la peinture de Raoul Dufy :
« Dans les chaleureux tons rouges de ses toiles en hommage à Mozart, le violon prédomine chez Raoul Dufy. Dufy représente-t-il le violon pour son attrait pictural, ou associe-t-il son admiration pour Mozart avec les instruments à cordes en général ? La forme du quatuor à cordes, héritée de Haydn, évolue ensuite grâce au génie de Mozart au cours de plus d’une vingtaine d’opus, rivalisant les uns avec les autres de juvénilité, d’intensité, de drame ou de sarcasmes… La clarté des formes, ces couleurs pures juxtaposées, et l’intensité de l’expression ne sont-elles pas, d’ailleurs, les caractéristiques des premiers fauvistes, dont Dufy fait partie ? » Paul-Marie Beauny
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 4 en Do M K 157
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 15 en ré m K 421
Avec :
Paul-Marie Beauny et Izleh Henry, violons
Sandrine Dupé, alto
Clotilde Lacroix, violoncelle
Le quatuor joue sur instruments d’époque classique.
Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Et pour clore ce cycle, Wolfgang Amadeus Mozart sera au chœur d’un programme pour quatuor à cordes imaginé par le violoniste habitué du MuMa, Paul-Marie Beauny. L’instrumentiste réunira pour l’occasion un quatuor inédit et pour lequel il envisage un moment de musique directement relié à la peinture de Raoul Dufy :
« Dans les chaleureux tons rouges de ses toiles en hommage à Mozart, le violon prédomine chez Raoul Dufy. Dufy représente-t-il le violon pour son attrait pictural, ou associe-t-il son admiration pour Mozart avec les instruments à cordes en général ? La forme du quatuor à cordes, héritée de Haydn, évolue ensuite grâce au génie de Mozart au cours de plus d’une vingtaine d’opus, rivalisant les uns avec les autres de juvénilité, d’intensité, de drame ou de sarcasmes… La clarté des formes, ces couleurs pures juxtaposées, et l’intensité de l’expression ne sont-elles pas, d’ailleurs, les caractéristiques des premiers fauvistes, dont Dufy fait partie ? » Paul-Marie Beauny
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 4 en Do M K 157
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 15 en ré m K 421
Avec :
Paul-Marie Beauny et Izleh Henry, violons
Sandrine Dupé, alto
Clotilde Lacroix, violoncelle
Le quatuor joue sur instruments d’époque classique.

Izleh Henry

Clotilde Lacroix

Sandrine Dupé
Date(s)
- 24 octobre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Daniel Isoir
Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
Par Daniel Isoir, piano
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
Par Daniel Isoir, piano
Date(s)
- 26 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Anaël Rousseau. © Opéra de Rouen Normandie
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Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Après un rendez-vous consacré à Chopin, nous enchainerons avec Jean-Sébastien Bach et quelques Suites pour violoncelle sélectionnées par Anaël Rousseau, violoncelliste à l’Opéra de Rouen Normandie.
Par Anaël Rousseau
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Biographie d’Anaël Rousseau
Anaël Rousseau étudie le violoncelle au Mans, puis au CNR de Paris où il obtient un premier prix de violoncelle, cycle Supérieur. Lauréat et premier prix des concours Bellan et UFAM en Honneur / Excellence, il entre ensuite au CNSM de Paris où il remporte un Premier prix d’instrument, bénéficiant aussi des conseils de Gary Hoffman, Arto Noras, Klaus Heitz, du quatuor Enesco, Christian Ivaldi, Alain Meunier… Parallèlement, il suit la classe de violoncelle baroque du CNSM avec Christophe Coin et enrichit son expérience de musique ancienne en master-class avec Anner Bylsma. Passionné d’orchestre, il participe plusieurs fois aux sessions de l’Orchestre Français des Jeunes (Marek Janowski, Jesús Lopez-Cobos) avant de remporter le concours de violoncelle solo de l’Opéra de Rouen Normandie en 2000. Invité de la Fondation Royaumont, il participe en 2009 aux Fenêtres sur Cour dans le cadre des Voix Célestes (voix, orgue, harpe et cordes). Il poursuit aussi une activité de chambriste, Japon, Normandie…
Anaël Rousseau joue un violoncelle de 1992 par Franck Ravatin.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Après un rendez-vous consacré à Chopin, nous enchainerons avec Jean-Sébastien Bach et quelques Suites pour violoncelle sélectionnées par Anaël Rousseau, violoncelliste à l’Opéra de Rouen Normandie.
Par Anaël Rousseau
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Biographie d’Anaël Rousseau
Anaël Rousseau étudie le violoncelle au Mans, puis au CNR de Paris où il obtient un premier prix de violoncelle, cycle Supérieur. Lauréat et premier prix des concours Bellan et UFAM en Honneur / Excellence, il entre ensuite au CNSM de Paris où il remporte un Premier prix d’instrument, bénéficiant aussi des conseils de Gary Hoffman, Arto Noras, Klaus Heitz, du quatuor Enesco, Christian Ivaldi, Alain Meunier… Parallèlement, il suit la classe de violoncelle baroque du CNSM avec Christophe Coin et enrichit son expérience de musique ancienne en master-class avec Anner Bylsma. Passionné d’orchestre, il participe plusieurs fois aux sessions de l’Orchestre Français des Jeunes (Marek Janowski, Jesús Lopez-Cobos) avant de remporter le concours de violoncelle solo de l’Opéra de Rouen Normandie en 2000. Invité de la Fondation Royaumont, il participe en 2009 aux Fenêtres sur Cour dans le cadre des Voix Célestes (voix, orgue, harpe et cordes). Il poursuit aussi une activité de chambriste, Japon, Normandie…
Anaël Rousseau joue un violoncelle de 1992 par Franck Ravatin.
Date(s)
- 11 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.