Portraits et dynamisme
Hommes et animaux
Reynold ARNOULD (1919-1980), Sans titre (Charles Laughton marchant), 1951, lavis et encres de couleur, 47 x 36 cm. Ancienne collection Camille Renault. Collection Rot-Vatin. © cliché S. Nagy
Reynold ARNOULD (1919-1980), Sans titre, ours (mascotte de l’université de Baylor), vers 1950, lavis sur papier de riz, 18 x 25 cm. Collection Rot-Vatin. © cliché S. Nagy
Reynold ARNOULD (1919-1980), Le Coq, 1953, huile sur toile, 66 x 81,5 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. Achat de la Ville, 1954. © 2015 MuMa Le Havre / Charles Maslard
Saisir le rythme du visage
Reynold ARNOULD (1919-1980), Autoportrait, 16 Septembre 1943, huile sur toile contrecollée sur contreplaqué, 35 x 27,5 cm. Paris, Centre Pompidou - Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle. don de la succession Marthe Bourhis-Arnould en 1999. © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost
Dans les années 1960, le portrait devient son art de prédilection. D’autres visages vont s’imposer : ceux des écrivains Max-Pol Fouchet ou Miguel-Angel Asturias, de ses amis les peintres Alfred Manessier ou Mario Prassinos, des critiques Frank Elgar et Jean-Louis Ferrier, de la galeriste Martine Prevost, de l’historien d’art René Huyghe, de son ami Max Querrien, le directeur de l’Architecture au ministère de la Culture, de François Mitterrand et, plus que tout autre, celui d’André Malraux, dont il a su saisir le visage tourmenté de façon étonnamment épurée.
Reynold ARNOULD (1919-1980), Pour un portrait de Frank Elgar, 1964, huile sur toile, 61 x 50 cm. Collection Rot-Vatin. © Droits réservés
Biographie établie par François Vatin d'après Gwenaële Rot et François Vatin, Reynold Arnould. Une poétique de l'industrie, Paris, Presses universitaires de Nanterre, 2019
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Illustrations
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Sans titre (Charles Laughton marchant), 1951, lavis et encres de couleur, 47 x 36 cm. Ancienne collection Camille Renault. Collection Rot-Vatin. © cliché S. Nagy
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Sans titre, ours (mascotte de l’université de Baylor), vers 1950, lavis sur papier de riz, 18 x 25 cm. Collection Rot-Vatin. © cliché S. Nagy
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Le Coq, 1953, huile sur toile, 66 x 81,5 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. Achat de la Ville, 1954. © 2015 MuMa Le Havre / Charles Maslard
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Autoportrait, 16 Septembre 1943, huile sur toile contrecollée sur contreplaqué, 35 x 27,5 cm. Paris, Centre Pompidou - Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle. don de la succession Marthe Bourhis-Arnould en 1999. © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Portrait de Marthe Bourhis-Arnould, vers 1945, crayon sur papier, 26 x 15,5 cm. Collection Rot-Vatin. © cliché S. Nagy
- Reynold ARNOULD (1919-1980), Pour un portrait de Frank Elgar, 1964, huile sur toile, 61 x 50 cm. Collection Rot-Vatin. © Droits réservés