PERFORMANCE

Indéfini
. ©Micheline Lelièvre
. ©Micheline Lelièvre
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Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.

« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »

chorégraphie Micheline Lelièvre
musique Alexandre Roure
danse  Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
© Laurent Bréard / Ville du Havre
© Laurent Bréard / Ville du Havre
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Retrouvez au MuMa ce concert dessiné né de la résidence d’Agnès Maupré dans les Cyclades dans le cadre du programme de La Bande des Havrais, et créé à l’occasion du festival littéraire Le Goût des Autres en janvier 2019.
Avec le groupe Esprit Chien (Agnès Maupré, Philippe d’Albret et Jean-Philippe Le Saint) et le dessinateur Singeon

Extrait du programme du Goût des Autres :
« Férue de mythologie grecque depuis fort longtemps, la créatrice de bande dessinée Agnès Maupré rêvait depuis longtemps d’une grande fresque voyageuse émaillée de rencontres avec des monstres mélancoliques. La Bande des Havrais a donné corps à ses envies à travers une résidence d’écriture dans les Cyclades et un accompagnement par le Studio Honolulu. Il est ressorti de cette résidence un projet hybride de bande dessinée musicale, accompagné de chansons du groupe Esprit chien. Le livre et les chansons retracent l’histoire de deux jeunes filles en quête de leur identité et du père qu’elles n’ont jamais rencontré, le grand Zeus. Mais les dieux sont fuyants, surtout pour leurs enfants, et on ne les rencontre pas sur simple demande. Heureusement, d’autres bâtards traînent leurs égarements sur les routes poussiéreuses et pourront peut-être les aider à savoir qui elles sont, à défaut de savoir d’où elles viennent… Le concert dessiné au Goût des Autres, accompagné de l’auteur de bande dessinée Singeon et de sa plume voluptueuse est une première restitution de ce périple initiatique mythologique et musical. »

Extraits du dossier de présentation :
« Zeus est un dieu, c’est même le roi des dieux. Or ni les rois ni les dieux ne font les meilleurs pères. Ce qu’ils savent faire surtout, c’est semer des bâtards. Et que deviennent-ils, ces bâtards, ces enfants abandonnés, ces grains de poussière sous la semelle divine, quand ils sont en âge de se dresser et de lever le poing? Ils tournent en rond, ils boxent le vide, cherchent qui ils sont, parfois se trouvent, parfois se perdent. Ils sont comme vous et moi, tout simplement humains…
 
Le projet « Bâtards » est un projet hybride mêlant musique, écriture et dessin. Né d’une résidence en Grèce soutenue par La Bande des Havrais, il se décline sous plusieurs formes:
- Une bande dessinée, scénario et dessin d’Agnès Maupré, accompagnée de chansons dʼEsprit Chien, à paraître aux éditions Dupuis
- Un concert dessiné avec des images de Singeon sur des musiques dʼEsprit Chien
 
Un esprit chien dans un corps chien!
Esprit Chien est un groupe d’électro-pop-canine à textes formé en 2015 entre Marseille et le Havre. Au départ formé de Philippe d'Albret, Agnès Maupré et Sharmila Naudou, il a troqué Marseille pour Toulouse et Sharmila pour JP le Saint. Mais il est toujours question d’aboyer le nez au vent. Certaines choses ne changent pas…
Le groupe s'est produit en concert à Marseille et au Havre où il a, entre autres, participé à l’édition 2017 du festival WE LOVE LH. La résidence « la Bande des Havrais » lui a donné un nouveau souffle en lui permettant de transporter son goût de la magie et de la métamorphose dans la poussière des Cyclades et de jouer avec leur panthéon de déités foutraques, composant un récit hybride fait de bande dessinée et de chanson. Le studio Honolulu, au Havre, a contribué à mettre tout ça en forme et une première représentation du concert dessiné a eu lieu au festival littéraire Le Goût des Autres sous le titre Les Fils cachés de Zeus. 
(…)
Singeon naît en 1982 à Fort de France, sur l'île de la Martinique, et y passe son enfance à rêver de bande dessinée. Après un bac littéraire, il s'installe à Paris en 1999 pour y étudier la communication visuelle et le graphisme. Il intègre ensuite l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts où il réalise un titanesque livre collectif en sérigraphie : Constance. Il se lance dans divers blogs, œuvre pour des fanzines, tel Dopututto, dessine des story-boards pour le cinéma d'animation, notamment La Mécanique du Coeur de Mathias Malzieu, et participe à la revue Lapin... Ses travaux, étranges et virtuoses, témoignent de son goût pour les artistes anglo-saxons, de Jim Woodring à Joe Daly en passant par Will Sweeney. Sauvetages, paru en 2011 chez Cornélius, en propose un recueil peuplé de singes et de princesses. Sa rencontre avec Marguerite Abouet lui donne l'occasion de mettre ses talents au service d'un long récit en bande dessinée. Bienvenue, aux éditions Gallimard, est son premier livre. Une première collaboration, Tristan et Yseult (Gallimard, 2017), le lie à Agnès Maupré. Les « Bâtards » leur donnent l’occasion de se retrouver… »

A l’occasion du lancement de la manifestation du Printemps des familles, organisée par la Ville du Havre, l’équipe du MuMa sera présente au Square Saint Roch avec un atelier non-stop à destination des enfants et de leurs familles. La manifestation étant placée sous le signe de la coupe du monde de football féminin, nous avons imaginé un atelier qui fera le lien entre sport et culture, et que nous avons intitulé : « Des couleurs, des ronds, des ballons, on sort les crampons ». Rendez-vous au Square Saint Roch pour en savoir plus, et mettre la main à la pâte !
 
Edgar DEGAS (1834-1917), Étude de bras et étude de tête , vers 1860-1862, graphite sur papier vélin,  23.5 x 32.2 cm. Collection Olivier Senn. Donation Hélène Senn-Foulds, 2004. © 2005 MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Edgar DEGAS (1834-1917), Étude de bras et étude de tête , vers 1860-1862, graphite sur papier vélin,  23.5 x 32.2 cm. Collection Olivier Senn. Donation Hélène Senn-Foulds, 2004. © 2005 MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
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« tel Degas : il reprend indéfiniment son dessin, l’approfondit, le serre, l’enveloppe, de feuille en feuille, de calque en calque. »
Paul Valéry, Degas Danse Dessin
 
Le plasticien Patrice Balvay et la danseuse-chorégraphe Margot Dorléans se sont rencontrés à travers une expérience commune du Japon. Etude constitue leur troisième collaboration, où ils font résonner les liens et les écarts entre la danse et le dessin.
 
Partir des dessins de Degas du MuMa, de ces études qui peuvent se voir comme un même corps en mouvement. La ligne fuit, se perd, surgit.
Danser en suivant les lignes internes et externes du corps, dessiner avec ce corps animé.
La proposition de Patrice Balvay et de Margot Dorléans est une performance où se construit in-situ un espace de papier, de geste et de son.
© Maroussia Vossen
© Maroussia Vossen
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A l’occasion de la présentation de « Still », exposition consacrée à l’œuvre photographique de Trine Søndergaard, le MuMa convie la danseuse Maroussia Vossen à explorer les espaces du musée pour dialoguer avec les photographies de la jeune artiste danoise.

Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
 
© Maroussia Vossen
© Maroussia Vossen
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A l’occasion de la présentation de « Still », exposition consacrée à l’œuvre photographique de Trine Søndergaard, le MuMa convie la danseuse Maroussia Vossen à explorer les espaces du musée pour dialoguer avec les photographies de la jeune artiste danoise.

Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
 
Feeding Back © Julia Thurnau
Feeding Back © Julia Thurnau
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« Ils sont artistes associés au Phare pour les saisons 2019-2021 et le festival est l’occasion d’accueillir la première en France de Feeding Back, une pièce pour cinq à sept interprètes, un intervenant invité et un public ! Ce projet est pensé comme un dialogue au sujet des résistances sociales, une chorégraphie engagée vis-à-vis de la société qui nous entoure. Quelle forme de résistance devons-nous développer aujourd’hui pour rester des êtres autonomes ? La danse recèle toujours quelque chose de politique dans ce qu’elle déploie individuellement et collectivement. Ici, les découvertes créatives soulevées par la pièce sont débattues et reformulées par un intervenant invité, artiste ou théoricien, en dialogue avec le public. La pièce est vue au Phare et débattue, le lendemain, au MuMa. Bien loin des traditionnels « retours » sur le spectacle, cet espace-temps fait partie de la création elle-même, transforme la pièce et vous invite à une autre forme chorégraphique ! » (extrait du programme du Festival Pharenheit)
 
Conception, chorégraphes : Malgven Gerbes, David Brandstätter
Interprètes et collaboration : Malgven Gerbes, Raphael Hillebrand, Hyoung Min Kim, Sebastian Kurth, Aline Landreau,  
Invités, en cours de proposition : Dominique Boivin, Emmanuelle Vo-Dinh, Adrienne Goehler, Alexandros Mistriotis, Jeffrey Gormly
Consulting et dramaturgie : Heike Albrecht
Textes : Uwe Goessel, Marc Luppiner
Composition sonore : Brendan Dougherty
Création lumière : Ruth Waldeyer
Administration, production, diffusion : Clara Debour, Ann-Christin Görtz, Alix Pellet
Graphisme : Yoann Bertrandy
Vidéo : Christoph Lemmen

Production : shifts - art in movement
Coproduction : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, direction Emmanuelle Vo-Dinh ; le Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine, direction Peter Jacobsson ; fabrik Potsdam : artistes en résidence
Avec le soutien du Ministère de la Culture - DRAC de Normandie, de la Région Normandie, du Hauptstadtkulturfonds
 
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2019 sur : www.lephare-ccn.fr

 
. © Sabine Meier
. © Sabine Meier
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« Programmée dans le cadre de l’édition 2015, la chorégraphe havraise Margot Dorléans présente cette année sa nouvelle création. C’est au MuMa que vous pourrez la découvrir dans une version in situ, lieu qui se prête parfaitement à la contemplation d’une sculpture vivante. Le titre même de la pièce nous livre un de ses secrets : Confier, un duo intimiste où se déclinent la confidence, le prendre soin et la confiance. Ici, dans un corps-à-corps indéfectible, l’espace physique est restreint alors que l’espace sonore et lumineux à géométrie variable capte la pulsation cardiaque. Ici, encore, les deux corps sont comme mis en orbite l’un avec l’autre. Ils s’écoutent, se sentent, se confient, se confondent. Les corps sont matières vivantes et vibrantes. Ici, enfin, le spectateur est comme pris dans cet enlacement infini. Il est le témoin de la révolution des corps dans cet univers. Il ne peut alors qu’être à l’écoute des confidences partagées… » (extrait du programme du Festival Pharenheit)
 
Conception, chorégraphie : Margot Dorléans
Interprétation : Manon Parent & Margot Dorléans
Création sonore : Laurent Durupt
Création lumière : Grégoire Desforges
Création costume : Salina Dumay

Production : Du Vivant Sous Les Plis
 
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2019 sur : www.lephare-ccn.fr

 
. © Sabine Meier
. © Sabine Meier
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« Programmée dans le cadre de l’édition 2015, la chorégraphe havraise Margot Dorléans présente cette année sa nouvelle création. C’est au MuMa que vous pourrez la découvrir dans une version in situ, lieu qui se prête parfaitement à la contemplation d’une sculpture vivante. Le titre même de la pièce nous livre un de ses secrets : Confier, un duo intimiste où se déclinent la confidence, le prendre soin et la confiance. Ici, dans un corps-à-corps indéfectible, l’espace physique est restreint alors que l’espace sonore et lumineux à géométrie variable capte la pulsation cardiaque. Ici, encore, les deux corps sont comme mis en orbite l’un avec l’autre. Ils s’écoutent, se sentent, se confient, se confondent. Les corps sont matières vivantes et vibrantes. Ici, enfin, le spectateur est comme pris dans cet enlacement infini. Il est le témoin de la révolution des corps dans cet univers. Il ne peut alors qu’être à l’écoute des confidences partagées… » (extrait du programme du Festival Pharenheit)
 
Conception, chorégraphie : Margot Dorléans
Interprétation : Manon Parent & Margot Dorléans
Création sonore : Laurent Durupt
Création lumière : Grégoire Desforges
Création costume : Salina Dumay

Production : Du Vivant Sous Les Plis
 
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2019 sur : www.lephare-ccn.fr

 
Votre Danse, Mylène Benoit © Photographie Nicolas Doubre
Votre Danse, Mylène Benoit © Photographie Nicolas Doubre
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Le MuMa accueille Votre danse, nouvelle version du spectacle Notre danse de Mylène Benoît proposée dans le cadre du festival Pharenheit.
 
Extrait du programme du festival :
« Le spectacle Notre danse nous a émus lors de Pharenheit 2017. Porté par cinq danseurs et deux musiciens, il était rempli d’inventions de rituels, de danses et de chants développant un folklore contemporain. Souvenez-vous : Quelle danse emporterions-nous sur une île déserte ? Quels gestes, sons, lumières, architectures matérielles, physiques et mentales seraient les porteurs de nos individualités et communautés ? Cette année, Mylène Benoit en propose une version in-situ produite avec vous et pour vous ! Ce projet participatif sera joué au MuMa et formera une aventure à la fois collective et individuelle. Quelles danses personnelles et intimes vont-ils emporter dans les salles du musée ? Comment ces danses rassemblées formeront-elles un ensemble, une société, un folklore partagé et partageable ? Que diront-elles de la communauté Pharenheit ? Venez être les témoins de ce collectif éphémère et inédit. Pas d’excuses ! La danse, c’est eux, c’est vous, c’est nous, c’est moi ! »
 
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2018 sur : www.lephare-ccn.fr

 




Conception & chorégraphie : Mylène Benoit, Alexandre Da Silva, Magda Kachouche
Création musicale : Nicolas Devos, Pénélope Michel (Puce Moment / Cercueil)
Production : Contour progressif
Administration, production : AlterMachine , Noura Sairour et Carole Willemot
Diffusion : Juliette Malot

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