Hors les murs

Philippe DE GOBERT (1946), LH 1198, 2020, tirage numérique 1/3, 128 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert ©Adagp
Dans le quartier Saint-François, retrouvez l’équipe du Service des publics qui proposera pour l’occasion un atelier non-stop destiné aux enfants et à leurs parents. Au programme, la création d’une œuvre collective sous la houlette du plasticien havrais Simon Le Cieux. Cette installation trouvera sa place dans la Halle aux poissons, nouvellement rouverte !
Merci à l’Atelier DD et à ses collaborateurs œuvrant à la mise en place du projet de la Halle aux poissons, lieu infini d’écologie marine.
(programme sous réserve d’évolutions, notamment liées à la situation sanitaire)
Merci à l’Atelier DD et à ses collaborateurs œuvrant à la mise en place du projet de la Halle aux poissons, lieu infini d’écologie marine.
(programme sous réserve d’évolutions, notamment liées à la situation sanitaire)
Date(s)
- 05 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit

Philippe DE GOBERT (1946), LH 1198, 2020, tirage numérique 1/3, 128 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert ©Adagp
Dans le quartier Saint-François, retrouvez l’équipe du Service des publics qui proposera pour l’occasion un atelier non-stop destiné aux enfants et à leurs parents. Au programme, la création d’une œuvre collective sous la houlette du plasticien havrais Simon Le Cieux. Cette installation trouvera sa place dans la Halle aux poissons, nouvellement rouverte !
Merci à l’Atelier DD et à ses collaborateurs œuvrant à la mise en place du projet de la Halle aux poissons, lieu infini d’écologie marine.
(programme sous réserve d’évolutions, notamment liées à la situation sanitaire)
Merci à l’Atelier DD et à ses collaborateurs œuvrant à la mise en place du projet de la Halle aux poissons, lieu infini d’écologie marine.
(programme sous réserve d’évolutions, notamment liées à la situation sanitaire)
Date(s)
- 04 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit

Anonyme, Le Havre, l'hôtel de ville, vers 1900-1910, carte postale. Le Havre, Archives municipales
Après l’expérimentation du gaz en 1835, Le Havre fait le choix de l’électricité en 1889 pour assurer l’éclairage de ses rues, suivant l’exemple donné par le port, doté d’un éclairage Jablochkoff en 1881. Dès lors, les artistes se saisissent de l’éclairage artificiel comme d’un nouveau motif pictural. Regards croisés sur l’éclairage urbain et portuaire havrais à partir d’un corpus d’œuvres réalisées au havre entre 1872 et 1903 et de documents des Archives municipales.
Conférence de Michaël Debris, coordinateur des expositions du MuMa et de Pierre Beaumont, directeur des Archives municipales
Organisé par le Pays d'Art et d'Histoire Le Havre Seine Métropole
Conférence de Michaël Debris, coordinateur des expositions du MuMa et de Pierre Beaumont, directeur des Archives municipales
Organisé par le Pays d'Art et d'Histoire Le Havre Seine Métropole
Date(s)
- 06 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire : https://www.lehavreseinemetropole.fr/pays-dart-et-dhistoire-inscription-aux-visites-la-couleur-au-jour-le-jour
Port du masque obligatoire
Lieu de la conférence : Attention lieu de RDV délocalisé à la nouvelle adresse de la Communauté urbaine, 30 rue de Richelieu (ex-EMN) - AMPHI BLEU
Port du masque obligatoire
Lieu de la conférence : Attention lieu de RDV délocalisé à la nouvelle adresse de la Communauté urbaine, 30 rue de Richelieu (ex-EMN) - AMPHI BLEU

Affiche du film Trafic de Jacques Tati (1971). © Droits réservés
Autour de l’exposition Reynold Arnould, et avec le concours et la participation de Gwenaële Rot et François Vatin, spécialistes du peintre, le MuMa vous propose un ensemble de trois événements qui viendront donner un aperçu de l’œuvre d’Arnould et du contexte dans lequel sa peinture trouve sa plus juste expression : la modernité de l’après-seconde guerre mondiale.
Le premier événement proposé par Le MuMa et le Studio sera une projection du film de Jacques Tati, Trafic. Grâce à l’éclairage de François Vatin et Gwenaële Rot vous découvrirez comment le film de Tati fait écho à la peinture d'Arnould dans un dialogue riche d’enseignement sur les années dites des « Trente glorieuses ».
« A propos de Trafic (1971) :
Reynold Arnould et Jacques Tati. Regards croisés sur les « Trente Glorieuses ».
Trafic, tourné entre 1969 et 1971 et sorti en 1971, est le cinquième et dernier long métrage de Jacques Tati, si l’on excepte Parade, tourné en 1973 pour la télévision suédoise. Il achève un cycle, commencé dans l’immédiat après-guerre avec Jour de Fête, que l’on peut considérer comme une véritable histoire filmée des Trente Glorieuses. M. Hulot, l’incarnation cinématographique de Tati, se retrouve successivement facteur adepte des méthodes « américaines » (Jour de Fête, 1949), vacancier des « congés payés » (Les vacances de M. Hulot, 1953), ouvrier-catastrophe d’une usine de plastique (Mon oncle, 1958), passant désorienté du nouvel urbanisme de béton et de verre (Play-Time, 1967) et, finalement, ingénieur-bricoleur de l’automobile dans Trafic. Celui-ci est chargé d’amener de son atelier de la région parisienne au salon de l’automobile d’Amsterdam, un camping-car, truffé des inventions loufoques de son invention. Mais, comme toujours chez Tati, la technique défaille, l’autoroute est semée d’embûches qui troublent la fluidité apparente de la circulation, la modernité rationnelle se dissout dans l’absurdité existentielle d’où surnage la poésie et l’humanité, toujours triomphantes.
Cette même France des Trente Glorieuses accompagne l’œuvre du peintre Reynold Arnould. Celui-ci avait découvert l’Amérique en 1946 et avait vécu trois ans, de 1949 à 1952, à Waco au Texas où il enseignait les beaux-arts à l’université Baylor. Cette découverte de l’Amérique au sortir des restrictions de la guerre l’avait profondément marqué. Elle le conduit à consacrer en 1955 au Musée des Arts décoratifs à Paris une grande exposition consacrée à l’automobile. Il y présente une série de portraits de voitures aux allures anthropomorphes ou zoomorphes, décrivant un « bestiaire de la puissance » selon la formule employée par Roland Barthes cette même année à l’occasion de sa description du salon de l’automobile parisien pour sa série de Mythologiques. Comme Tati, Arnould regarde avec une ironie dénuée d’acidité ces objets mécaniques qui envahissent l’imaginaire de l’homme moderne. Comme Tati, il montre dans ses « totems », empilements de véhicules immobilisés dans les embouteillages, que l’espérance de libre mobilité portée par la voiture conduit inexorablement à l’engorgement.
Arnould, comme Tati, est un observateur du monde moderne qui se cherche. Chez Tati, on pourrait parfois croire à un propos dichotomique, à une inexorable destruction d’une France traditionnelle porteuse de poésie et de lien social au profit d’une rationalité moderne désincarnée. A y regarder de plus près, on voit que c’est plus complexe, car, la poésie ressurgit toujours en dépit de la rationalité recherchée : « Je ne suis pas si retardataire. Après tout, la Défense, c’est moi qui l’ai construite avant tout le monde ... Je me doutais bien un peu de ce qu’ils allaient nous faire, hein ? » déclarait-il en 1981 aux étudiants de cinéma de Jean-André Fieschi. Arnould est moins traditionnaliste. Né en 1919, douze ans après Tati, il fait partie d’une génération arrivée à l’âge adulte avec la guerre et les privations. Il reconnaît pleinement la vertu de la modernisation, mais il veut montrer que la poésie ne saurait en être absente. Sa seconde grande exposition au musée des Arts décoratifs, Forces et rythmes de l’industrie, en 1959, entend témoigner de la beauté plastique de l’industrie moderne. Il ne s’agit pas d’en faire l’apologie mais d’inviter à la regarder autrement afin de réconcilier l’homme moderne avec sa culture. Son projet n’est en ce sens pas si différent de celui de Tati.
On ne dispose pas de trace, pour le moment, de liens directs entre Arnould et Tati. Ont-ils eu l’occasion de voir leurs œuvres respectives ? C’est vraisemblable, tout au moins pour Arnould, amateur de cinéma depuis son enfance. Qu’en ont-ils pensé ? Nous n’en savons rien. Un homme, pourtant, fait le trait d’union entre eux : Jacques Lagrange (1917-1995). Ce peintre, qui avait participé à la décoration du pavillon de l’électricité pour l’exposition universelle de 1937 auprès de Raoul Dufy, est, comme Arnould, attaché à la Galerie de France et soutenu par les mêmes critiques (Bernard Dorival, Jean-Louis Ferrier, Jean Lescure). En 1961, il est nommé par André Malraux en compagnie de Reynold Arnould au jury des Prix de Rome. Or Lagrange, qui avait rencontré Tati en 1945, est aussi, le coscénariste de tous ses films depuis Les vacances de M. Hulot. Peinture et cinéma n’ont cessé d’échanger au cours du XXe siècle. Le Musée-Maison de la Culture du Havre tel que l’avait pensé Reynold Arnould était un lieu pour ces échanges. L’exposition consacrée à ce peintre au MuMa musée d'art moderne André Malraux est l’occasion de reprendre ce dialogue. » Gwenaële Rot et François Vatin
En partenariat avec Le Studio : www.cinema-le-studio.fr
Le premier événement proposé par Le MuMa et le Studio sera une projection du film de Jacques Tati, Trafic. Grâce à l’éclairage de François Vatin et Gwenaële Rot vous découvrirez comment le film de Tati fait écho à la peinture d'Arnould dans un dialogue riche d’enseignement sur les années dites des « Trente glorieuses ».
« A propos de Trafic (1971) :
Reynold Arnould et Jacques Tati. Regards croisés sur les « Trente Glorieuses ».
Trafic, tourné entre 1969 et 1971 et sorti en 1971, est le cinquième et dernier long métrage de Jacques Tati, si l’on excepte Parade, tourné en 1973 pour la télévision suédoise. Il achève un cycle, commencé dans l’immédiat après-guerre avec Jour de Fête, que l’on peut considérer comme une véritable histoire filmée des Trente Glorieuses. M. Hulot, l’incarnation cinématographique de Tati, se retrouve successivement facteur adepte des méthodes « américaines » (Jour de Fête, 1949), vacancier des « congés payés » (Les vacances de M. Hulot, 1953), ouvrier-catastrophe d’une usine de plastique (Mon oncle, 1958), passant désorienté du nouvel urbanisme de béton et de verre (Play-Time, 1967) et, finalement, ingénieur-bricoleur de l’automobile dans Trafic. Celui-ci est chargé d’amener de son atelier de la région parisienne au salon de l’automobile d’Amsterdam, un camping-car, truffé des inventions loufoques de son invention. Mais, comme toujours chez Tati, la technique défaille, l’autoroute est semée d’embûches qui troublent la fluidité apparente de la circulation, la modernité rationnelle se dissout dans l’absurdité existentielle d’où surnage la poésie et l’humanité, toujours triomphantes.
Cette même France des Trente Glorieuses accompagne l’œuvre du peintre Reynold Arnould. Celui-ci avait découvert l’Amérique en 1946 et avait vécu trois ans, de 1949 à 1952, à Waco au Texas où il enseignait les beaux-arts à l’université Baylor. Cette découverte de l’Amérique au sortir des restrictions de la guerre l’avait profondément marqué. Elle le conduit à consacrer en 1955 au Musée des Arts décoratifs à Paris une grande exposition consacrée à l’automobile. Il y présente une série de portraits de voitures aux allures anthropomorphes ou zoomorphes, décrivant un « bestiaire de la puissance » selon la formule employée par Roland Barthes cette même année à l’occasion de sa description du salon de l’automobile parisien pour sa série de Mythologiques. Comme Tati, Arnould regarde avec une ironie dénuée d’acidité ces objets mécaniques qui envahissent l’imaginaire de l’homme moderne. Comme Tati, il montre dans ses « totems », empilements de véhicules immobilisés dans les embouteillages, que l’espérance de libre mobilité portée par la voiture conduit inexorablement à l’engorgement.
Arnould, comme Tati, est un observateur du monde moderne qui se cherche. Chez Tati, on pourrait parfois croire à un propos dichotomique, à une inexorable destruction d’une France traditionnelle porteuse de poésie et de lien social au profit d’une rationalité moderne désincarnée. A y regarder de plus près, on voit que c’est plus complexe, car, la poésie ressurgit toujours en dépit de la rationalité recherchée : « Je ne suis pas si retardataire. Après tout, la Défense, c’est moi qui l’ai construite avant tout le monde ... Je me doutais bien un peu de ce qu’ils allaient nous faire, hein ? » déclarait-il en 1981 aux étudiants de cinéma de Jean-André Fieschi. Arnould est moins traditionnaliste. Né en 1919, douze ans après Tati, il fait partie d’une génération arrivée à l’âge adulte avec la guerre et les privations. Il reconnaît pleinement la vertu de la modernisation, mais il veut montrer que la poésie ne saurait en être absente. Sa seconde grande exposition au musée des Arts décoratifs, Forces et rythmes de l’industrie, en 1959, entend témoigner de la beauté plastique de l’industrie moderne. Il ne s’agit pas d’en faire l’apologie mais d’inviter à la regarder autrement afin de réconcilier l’homme moderne avec sa culture. Son projet n’est en ce sens pas si différent de celui de Tati.
On ne dispose pas de trace, pour le moment, de liens directs entre Arnould et Tati. Ont-ils eu l’occasion de voir leurs œuvres respectives ? C’est vraisemblable, tout au moins pour Arnould, amateur de cinéma depuis son enfance. Qu’en ont-ils pensé ? Nous n’en savons rien. Un homme, pourtant, fait le trait d’union entre eux : Jacques Lagrange (1917-1995). Ce peintre, qui avait participé à la décoration du pavillon de l’électricité pour l’exposition universelle de 1937 auprès de Raoul Dufy, est, comme Arnould, attaché à la Galerie de France et soutenu par les mêmes critiques (Bernard Dorival, Jean-Louis Ferrier, Jean Lescure). En 1961, il est nommé par André Malraux en compagnie de Reynold Arnould au jury des Prix de Rome. Or Lagrange, qui avait rencontré Tati en 1945, est aussi, le coscénariste de tous ses films depuis Les vacances de M. Hulot. Peinture et cinéma n’ont cessé d’échanger au cours du XXe siècle. Le Musée-Maison de la Culture du Havre tel que l’avait pensé Reynold Arnould était un lieu pour ces échanges. L’exposition consacrée à ce peintre au MuMa musée d'art moderne André Malraux est l’occasion de reprendre ce dialogue. » Gwenaële Rot et François Vatin
En partenariat avec Le Studio : www.cinema-le-studio.fr
Date(s)
- 23 janvier 2020
Tarifs habituels du Studio :
6,50 € (tarif plein), 5,50 € (tarif réduit : collégiens, lycéens, étudiants, chômeurs, retraités, abonnés), 3 € (étudiants Université du Havre, séances scolaires)
Achat des billets sur place – Pour un billet acheté, vous pourrez bénéficier d’une entrée à tarif réduit pour la visite de l’exposition Reynold Arnould au MuMa, sur présentation de la contremarque du Studio.
Attention : rendez-vous au Studio, 3 rue du Général Sarrail au Havre.
Dans la limite des places disponibles
6,50 € (tarif plein), 5,50 € (tarif réduit : collégiens, lycéens, étudiants, chômeurs, retraités, abonnés), 3 € (étudiants Université du Havre, séances scolaires)
Achat des billets sur place – Pour un billet acheté, vous pourrez bénéficier d’une entrée à tarif réduit pour la visite de l’exposition Reynold Arnould au MuMa, sur présentation de la contremarque du Studio.
Attention : rendez-vous au Studio, 3 rue du Général Sarrail au Havre.
Dans la limite des places disponibles

Enfant prodige de la peinture, Reynold Arnould est fasciné par l'industrie moderne, qu'il transfigure dans des toiles à l'apparence abstraite. Artiste typique de la génération d'après-guerre, ce peintre havrais a inauguré en 1961 la Maison de la Culture du Havre, la première de France...
Un rendez-vous proposé à la bibliothèque Armand Salacrou à l'occasion de l'exposition Reynold Arnould et le nouveau musée du Havre présentée au MuMa du 7 décembre 2019 au 16 février 2020.
Une conférence animée par François Vatin, professeur à l’Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense et Gwenaële Rot, professeur à Science-Po Paris, auteurs de l'ouvrage Reynold Arnould, une poétique de l'industrie.
Un rendez-vous proposé à la bibliothèque Armand Salacrou à l'occasion de l'exposition Reynold Arnould et le nouveau musée du Havre présentée au MuMa du 7 décembre 2019 au 16 février 2020.
Une conférence animée par François Vatin, professeur à l’Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense et Gwenaële Rot, professeur à Science-Po Paris, auteurs de l'ouvrage Reynold Arnould, une poétique de l'industrie.
Date(s)
- 06 décembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Conférence hors les murs proposée à la Bibliothèque Armand Salacrou

Le MuMa propose un atelier « non-stop » pour les petits et les grands inspiré de l’œuvre de Raoul Dufy exposée actuellement au musée. L’occasion de s’amuser avec la couleur préférée du peintre, le bleu, et de représenter l’univers marin de différentes manières ! La mer, ses couleurs, ses reflets, les bateaux et leurs pavois… sont autant de motifs que le peintre n’a eu de cesse de représenter tout au long de sa carrière. A l’aide de techniques simples, comme le collage et le dessin, les médiatrices du MuMa accompagnent les enfants dans cette découverte – les parents sont les bienvenus pour aider les plus jeunes et mettre la main à la pâte !

Le MuMa propose un atelier « non-stop » pour les petits et les grands inspiré de l’œuvre de Raoul Dufy exposée actuellement au musée. L’occasion de s’amuser avec la couleur préférée du peintre, le bleu, et de représenter l’univers marin de différentes manières ! La mer, ses couleurs, ses reflets, les bateaux et leurs pavois… sont autant de motifs que le peintre n’a eu de cesse de représenter tout au long de sa carrière. A l’aide de techniques simples, comme le collage et le dessin, les médiatrices du MuMa accompagnent les enfants dans cette découverte – les parents sont les bienvenus pour aider les plus jeunes et mettre la main à la pâte !

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Une fois de plus, le MuMa participe à la Fête de la mer et délocalise son atelier sur site, dans le quartier Saint-François du Havre. Cette année, il invite les artistes de Première ligne Flora Vachez et Simon Le Cieux à vous proposer un atelier « non-stop » sur le thème de la mer. Accessible à tous à partir de 6 ans environ, il sera l’occasion de faire un clin d’œil aux œuvres de Raoul Dufy actuellement exposées au MuMa.
Masque-arrêt
"un rapide arrêt au stand (de pêche),
pour les Barbus et les Rascasses, on met le Turbo, c'est qui l'poisson ?!
atelier masque/chapeau la tête dans l'eau."
Masque-arrêt
"un rapide arrêt au stand (de pêche),
pour les Barbus et les Rascasses, on met le Turbo, c'est qui l'poisson ?!
atelier masque/chapeau la tête dans l'eau."
Date(s)
- 01 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous sur le stand du MuMa le samedi 31 août de 14h à 19h et le dimanche 1er septembre de 10h à 18h

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Une fois de plus, le MuMa participe à la Fête de la mer et délocalise son atelier sur site, dans le quartier Saint-François du Havre. Cette année, il invite les artistes de Première ligne Flora Vachez et Simon Le Cieux à vous proposer un atelier « non-stop » sur le thème de la mer. Accessible à tous à partir de 6 ans environ, il sera l’occasion de faire un clin d’œil aux œuvres de Raoul Dufy actuellement exposées au MuMa.
Masque-arrêt
"un rapide arrêt au stand (de pêche),
pour les Barbus et les Rascasses, on met le Turbo, c'est qui l'poisson ?!
atelier masque/chapeau la tête dans l'eau."
Masque-arrêt
"un rapide arrêt au stand (de pêche),
pour les Barbus et les Rascasses, on met le Turbo, c'est qui l'poisson ?!
atelier masque/chapeau la tête dans l'eau."
Date(s)
- 31 août 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous sur le stand du MuMa le samedi 31 août de 14h à 19h et le dimanche 1er septembre de 10h à 18h

. © Ville du Havre / Philippe Bréard
Une proposition hors les murs de La Maison du Patrimoine
En écho à l’exposition du MuMa consacrée au peintre havrais Raoul Dufy, parcourez le front de mer de la station balnéaire chère à l’artiste. Vous retrouverez quelques-uns des motifs qui l’ont inspiré tout au long de sa carrière et l’ambiance de ce lieu de villégiature prisé et très animé au tournant du XXe siècle.
En écho à l’exposition du MuMa consacrée au peintre havrais Raoul Dufy, parcourez le front de mer de la station balnéaire chère à l’artiste. Vous retrouverez quelques-uns des motifs qui l’ont inspiré tout au long de sa carrière et l’ambiance de ce lieu de villégiature prisé et très animé au tournant du XXe siècle.
Date(s)
- samedi 06 juillet 2019
- dimanche 21 juillet 2019
- dimanche 04 août 2019
- jeudi 15 août 2019
- samedi 24 août 2019
Ces visites sont organisées par la Maison du Patrimoine. La réservation est obligatoire et se fait directement auprès de la Maison du Patrimoine au 02 35 22 31 22.
Tarif plein : 7 € - Tarif réduit : 5 €
RDV : devant l’entrée du MuMa, Le Havre
À noter, sur présentation du billet de la visite à l’accueil du MuMa, vous bénéficiez d’une entrée à tarif réduit pour l’exposition
Tarif plein : 7 € - Tarif réduit : 5 €
RDV : devant l’entrée du MuMa, Le Havre
À noter, sur présentation du billet de la visite à l’accueil du MuMa, vous bénéficiez d’une entrée à tarif réduit pour l’exposition