18 h 00
AMAM
"L'oeuvre de Camille Claudel dans l'art de son époque : dettes, souvenirs, échanges"
par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
Date(s)
- 18 octobre 2018
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
AMAM
"De Camille à Claudel : l'inédit parcours d'une artiste"
par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
Date(s)
- 04 octobre 2018
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
Florence Guilbert Bréard, du Muséum du Havre, vous concocte une mise en place d’aquariums dans l’atelier du MuMa. Accompagnée des médiatrices du MuMa, elle vous proposera une découverte de ces mondes sous-marins miniatures, que vous pourrez également croquer, dessiner, esquisser !
Pour en savoir plus : le site du Muséum.
Pour en savoir plus : le site du Muséum.
Charles-Alexandre LESUEUR (1778-1846), Etoile de mer Anseropoda rosacea, Non datée - probablement entre 1804 et 1815, aquarelle, 30 x 46,5 cm. Le Havre
Date(s)
- 19 mai 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Hélène Latour. © David Morganti
Le MuMa invite l’Opéra de Rouen Normandie qui vous concocte une immersion dans l’univers des compositeurs-marins tels Albert Roussel ou Jean Cras.
Au programme :
Jean Cras, Trio à cordes
Benjamin Godard, Trio à cordes (Ballade, Dans les bois, Rêve, Scherzo)
Albert Roussel, Trio
Avec :
Teona Kharadze au violon, Stéphanie Lalizet à l’alto, et Hélène Latour au violoncelle
En savoir plus : le site de l'Opéra de Rouen.
Au programme :
Jean Cras, Trio à cordes
Benjamin Godard, Trio à cordes (Ballade, Dans les bois, Rêve, Scherzo)
Albert Roussel, Trio
Avec :
Teona Kharadze au violon, Stéphanie Lalizet à l’alto, et Hélène Latour au violoncelle
En savoir plus : le site de l'Opéra de Rouen.
Date(s)
- 02 juin 2018
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
Publications
Jean Cras (1879-1932)
Jean Cras est un officier de marine et compositeur français, né le 22 mai 1879 à Brest où il est mort le 14 septembre 1932.
Professeur à l'École navale, il met au point une règle qui porte aujourd'hui son nom : la « règle Cras ». Elle permet de tracer la route ou de porter un point sur une carte marine. Le capitaine de vaisseau Cras commande notamment le cuirassé Provence. Promu contre-amiral en 1931, il achève sa brillante mais trop brève carrière maritime au poste de major général du port de Brest, sa ville natale. Conciliant sa carrière maritime et sa passion musicale, Jean Cras a pu tout au long de son existence composer de nombreuses pièces. Son hyper sensibilité le conduit vers l'art de l'expressionnisme suggestif. Abordant tous les styles, il puise la matière nécessaire dans ses voyages et mélange les parfums d'ailleurs qui parfois sonnent comme des airs bretons.
Benjamin Godard (1849-1895)
Benjamin Godard est un compositeur français, né le 18 août 1849 à Paris et mort le 10 janvier 1895 à Cannes. Benjamin Godard entre au Conservatoire national supérieur de musique et de danse où il étudie le violon avec Richard Hammer et Henri Vieuxtemps et la composition avec Henri Reber. À l'âge de seize ans, il compose sa première sonate pour violon et piano. En 1887, il devient professeur de la classe d'ensemble instrumental au Conservatoire de Paris. Son chef-d'œuvre, Jocelyn d'après un poème de Lamartine (Bruxelles, 25 février 1888) dont on retient la célèbre Berceuse, révèle le meilleur du talent lyrique du compositeur. Un autre opéra, Dante, est représenté à l'Opéra-Comique le 13 mai 1890.
Godard écrit encore deux opéras, édités par Julien Hamelle : La Vivandière, dont l'orchestration fut terminée par Paul Vidal (création à titre posthume à Paris le 1er avril 1895), et Les Guelfes, représenté (également à titre posthume) à Rouen le 17 janvier 1902.Atteint de tuberculose, il se retire sur la Côte d'Azur en 1892, où il meurt au début de l'année 1895, âgé de quarante-cinq ans.
Albert Roussel (1869-1937)
Albert Roussel est un compositeur français, né à Tourcoing le 5 avril 1869 et mort à Royan le 23 août 1937. Membre d'une famille de la bourgeoisie industrielle tourquennoise, dans laquelle on compte plusieurs artistes amateurs de bon niveau, Albert Roussel fait ses études secondaires à l'Institution libre du Sacré-Cœur de Tourcoing. Orphelin à l'âge de sept ans, il est recueilli par son grand-père, maire de Tourcoing, puis par sa tante maternelle. La lecture des romans de Jules Verne le décide à devenir marin. Il intègre le collège Stanislas de Paris, où l'organiste Jules Stolz lui fait découvrir Bach, Beethoven et Mozart. Après avoir servi quelques années dans la marine (il a été admis à l'École navale en 1887), il décide en 1894 de se consacrer entièrement à la musique. Julien Koszul, grand-père d'Henri Dutilleux, lui donne des leçons d'harmonie à Roubaix et l'encourage à se rendre à Paris pour étudier le contrepoint et la fugue avec Eugène Gigout. Il s'inscrit en 1898 à la Schola Cantorum. Lui-même y enseigne le contrepoint entre 1902 et 1913. Après la guerre il continue d'enseigner en privé et son influence sur les jeunes musiciens de l'entre-deux guerres qui le considéraient comme un chef de file est capitale.Bien qu'influencé au début de sa carrière par Debussy et Vincent d'Indy son professeur d'orchestration, Roussel fit preuve assez vite d'une grande originalité. Sa musique se distingue par le raffinement de l'harmonie, les audaces rythmiques et la richesse du coloris toujours au service d'une musique pure libérée de tout pittoresque ou de références folkloriques. Il est enterré dans le petit cimetière marin de Varengeville-sur-Mer.
Affiche Studio AKATRE
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Pour cette 14ème édition de la Nuit des musées, le MuMa vous propose une expédition à faire en famille pour explorer les mondes sous-marins, réels ou imaginaires, présentés et représentés dans l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves.
Au programme, des rendez-vous accessibles notamment aux plus jeunes, avec :
Au programme, des rendez-vous accessibles notamment aux plus jeunes, avec :
- Un atelier « aquarium à croquer »
- Un conte « à écouter et à regarder »
- De la musique pour se laisser bercer par un drôle de « Carnaval des animaux »
- Et bien d’autres choses encore…
Date(s)
- 19 mai 2018
Tarif(s)
Gratuit
LIEN EXTERNE
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, détail © Courtesy of Jack Smith Archive and Gladstone Gallery, New York and Brussels
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Peut-on considérer un film un texte ? Après tout – l’étymologie nous l’apprend – le mot volumen, issu du latin volvo, renvoie au geste qui consiste à envelopper. Le papyrus ne serait pas loin d’une bobine de film.
De cette observation, résolument matérielle, on peut instituer un parallèle entre les deux supports. Mais qu’en est-il de cet objet si spécifique, le « film d’artiste » (ou encore le « film expérimental ») ? Présentés souvent sous des configurations multiples, variables, autrefois soumis à des manipulations d’auteur, les films d’artistes apparaissent comme des textes résolument instables. En s’emparant de quelques notions de la philologie littéraire, cette présentation se propose de revenir, à travers une série d’exemples (Jack Smith, Wallace Berman, Barbara Rubin), sur les modes d’existence de ces œuvres à la trajectoire singulière, afin d’interroger leur possible transmission au futur.
Rencontre avec Enrico Camporesi, boursier postdoctoral de la Terra Foundation à l’Institut national d’histoire de l’art à Paris. Il a conçu et organisé des programmations film/vidéo et des expositions en France et à l’international. Il est l’auteur de Futurs de l’obsolescence, un essai sur la restauration du film d’artiste (à paraître en 2018 aux Éditions Mimésis).
Programme :
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, 16 mm, coul., son sur fichier num., 15’. Distribution : Light Cone, Paris
Wallace Berman, Aleph, 1956-1966, 16 mm, coul./nb, sil., 7’30. Distribution : LUX, Londres
Suivez MuMaBox sur Facebook
De cette observation, résolument matérielle, on peut instituer un parallèle entre les deux supports. Mais qu’en est-il de cet objet si spécifique, le « film d’artiste » (ou encore le « film expérimental ») ? Présentés souvent sous des configurations multiples, variables, autrefois soumis à des manipulations d’auteur, les films d’artistes apparaissent comme des textes résolument instables. En s’emparant de quelques notions de la philologie littéraire, cette présentation se propose de revenir, à travers une série d’exemples (Jack Smith, Wallace Berman, Barbara Rubin), sur les modes d’existence de ces œuvres à la trajectoire singulière, afin d’interroger leur possible transmission au futur.
Rencontre avec Enrico Camporesi, boursier postdoctoral de la Terra Foundation à l’Institut national d’histoire de l’art à Paris. Il a conçu et organisé des programmations film/vidéo et des expositions en France et à l’international. Il est l’auteur de Futurs de l’obsolescence, un essai sur la restauration du film d’artiste (à paraître en 2018 aux Éditions Mimésis).
Programme :
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, 16 mm, coul., son sur fichier num., 15’. Distribution : Light Cone, Paris
Wallace Berman, Aleph, 1956-1966, 16 mm, coul./nb, sil., 7’30. Distribution : LUX, Londres
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Date(s)
- 16 mai 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, dist. Light Cone
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
Ces visions subaquatiques vous sont proposées comme un prélude à l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves qui se tiendra au MuMa du 5 mai au 9 septembre 2018.
Visions oniriques où d’indistinctes présences apparaissent à travers le voile du rêve, insaisissables objets dérobés au désir (L’Étoile de mer, Alleluia).
Images remontées des profondeurs de l’Histoire, comme ces archives repêchées, sauvées de l’oubli, réanimées par le geste créateur qui les plonge dans l’eau de Javel (La Pêche miraculeuse) ou le bain primitif de la photochimie (Konrad & Kurfurst).
Vues macroscopiques de la faune sous-marine (Oursins) à travers l’objectif de la caméra du génial Jean Painlevé, pionnier du cinéma scientifique, amoureux de la mer et fondateur en 1934 du Club des Sous l’Eau, premier club de plongée sous-marine.
Programme :
Man Ray, L’Étoile de mer, 1928, 18’
Christophe Guérin, Alleluia, 2004, 9’
Cécile Fontaine, La Pêche miraculeuse, 1995, 10’
Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, 7’
Jean Painlevé, Oursins, 1954, 11’
Ces visions subaquatiques vous sont proposées comme un prélude à l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves qui se tiendra au MuMa du 5 mai au 9 septembre 2018.
Visions oniriques où d’indistinctes présences apparaissent à travers le voile du rêve, insaisissables objets dérobés au désir (L’Étoile de mer, Alleluia).
Images remontées des profondeurs de l’Histoire, comme ces archives repêchées, sauvées de l’oubli, réanimées par le geste créateur qui les plonge dans l’eau de Javel (La Pêche miraculeuse) ou le bain primitif de la photochimie (Konrad & Kurfurst).
Vues macroscopiques de la faune sous-marine (Oursins) à travers l’objectif de la caméra du génial Jean Painlevé, pionnier du cinéma scientifique, amoureux de la mer et fondateur en 1934 du Club des Sous l’Eau, premier club de plongée sous-marine.
Programme :
Man Ray, L’Étoile de mer, 1928, 18’
Christophe Guérin, Alleluia, 2004, 9’
Cécile Fontaine, La Pêche miraculeuse, 1995, 10’
Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, 7’
Jean Painlevé, Oursins, 1954, 11’
Date(s)
- 18 avril 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2015, dist. Cellulo Prod
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
« Architecte DPLG, je m’intéresse depuis quelques années à la mise en image de problématiques spatiales et de leurs répercussions sur l’homme et son quotidien. Quels liens et quelles expériences nous relient à nos espaces de vie ? Comment ces derniers nous conditionnent-ils et à l’inverse comment les exploitons-nous au-delà du schème fonctionnel pour lequel ils ont été conçus ?
Habitations Légèrement Modifiées est un film qui me permet de dévoiler ce qui résiste à la perturbation, ce qui persiste au-delà du changement. Dévoiler, c’est-à-dire retirer de « la vie de tous les jours » ce que le temps et l’habitude déposent pour en extraire l’essence. Un film sur le quotidien immuable pris dans l’impermanence des choses. Il ne s’agit pas d’un film sur l’architecture, mais d’un film d’architecture, dans le sens où le réel sujet du film n’est ni le projet, ni les architectes, mais l’espace en transformation et son influence sur la vie des habitants. » Guillaume Meigneux
Programme :
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2013, 76’
En écho au Mois de l’architecture contemporaine en Normandie
« Architecte DPLG, je m’intéresse depuis quelques années à la mise en image de problématiques spatiales et de leurs répercussions sur l’homme et son quotidien. Quels liens et quelles expériences nous relient à nos espaces de vie ? Comment ces derniers nous conditionnent-ils et à l’inverse comment les exploitons-nous au-delà du schème fonctionnel pour lequel ils ont été conçus ?
Habitations Légèrement Modifiées est un film qui me permet de dévoiler ce qui résiste à la perturbation, ce qui persiste au-delà du changement. Dévoiler, c’est-à-dire retirer de « la vie de tous les jours » ce que le temps et l’habitude déposent pour en extraire l’essence. Un film sur le quotidien immuable pris dans l’impermanence des choses. Il ne s’agit pas d’un film sur l’architecture, mais d’un film d’architecture, dans le sens où le réel sujet du film n’est ni le projet, ni les architectes, mais l’espace en transformation et son influence sur la vie des habitants. » Guillaume Meigneux
Programme :
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2013, 76’
En écho au Mois de l’architecture contemporaine en Normandie
Date(s)
- 14 mars 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous Le Havre - Mars 2018
Sergei Eisenstein’s Mexican footage, 1931, dist. Light Cone
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
Ces histoires de masques commencent par la visite nocturne du Musée National d’ethnologie aux Pays-Bas filmée par Max de Haas en 1950 dans Maskerage, impeccable sur sa forme (première musique de film de Pierre Schaeffer), discutable sur le fond (relents colonialistes) et s’achèvent par les images sublimes tournées au Mexique par Eisenstein pendant le Jour des Morts.
Entre ces deux regards portés sur le masque, que tout oppose, quelques incarnations, simulacres et dissimulations, jeux plus ou moins sérieux où se mêlent exhibition, grotesque et violence primitive.
« Le mystère attirant et répulsif du masque, qui pourra jamais en donner la technique, en expliquer les motifs et démontrer logiquement l’impérieux besoin auquel cèdent, à des jours déterminés, certains êtres, de se grimer, de se déguiser, de changer d’identité, de cesser d’être ce qu’ils sont ; en un mot, de s’évader d’eux-mêmes. » Jean Lorrain, Histoires de Masques
Programme :
Max de Haas, Maskerage, 1951, 10’
Ben Russell, Trypps #6 (Malobi), 2009, 12’
Christian Boltanski, L’homme qui lèche, 1969, 2’30 et L’homme qui tousse, 1969, 3’30
Christopher Cogan, No moon, 2014, 10’
Anja Czioska, In the grass, 1992, 2’30
Martha Colburn, Secrets of mexuality, 2003, 5’
Grigory Alexandrov & Sergei Eisenstein & Edward Tissé, Sergei Eisenstein’s mexican footage, 1931, 10’15
Ces histoires de masques commencent par la visite nocturne du Musée National d’ethnologie aux Pays-Bas filmée par Max de Haas en 1950 dans Maskerage, impeccable sur sa forme (première musique de film de Pierre Schaeffer), discutable sur le fond (relents colonialistes) et s’achèvent par les images sublimes tournées au Mexique par Eisenstein pendant le Jour des Morts.
Entre ces deux regards portés sur le masque, que tout oppose, quelques incarnations, simulacres et dissimulations, jeux plus ou moins sérieux où se mêlent exhibition, grotesque et violence primitive.
« Le mystère attirant et répulsif du masque, qui pourra jamais en donner la technique, en expliquer les motifs et démontrer logiquement l’impérieux besoin auquel cèdent, à des jours déterminés, certains êtres, de se grimer, de se déguiser, de changer d’identité, de cesser d’être ce qu’ils sont ; en un mot, de s’évader d’eux-mêmes. » Jean Lorrain, Histoires de Masques
Programme :
Max de Haas, Maskerage, 1951, 10’
Ben Russell, Trypps #6 (Malobi), 2009, 12’
Christian Boltanski, L’homme qui lèche, 1969, 2’30 et L’homme qui tousse, 1969, 3’30
Christopher Cogan, No moon, 2014, 10’
Anja Czioska, In the grass, 1992, 2’30
Martha Colburn, Secrets of mexuality, 2003, 5’
Grigory Alexandrov & Sergei Eisenstein & Edward Tissé, Sergei Eisenstein’s mexican footage, 1931, 10’15
Date(s)
- 14 février 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Nova typis transacta navigatio, 1621, Honorius Philoponus, Harvard University
REGARDS CROISÉS
Les marins et leurs monstres : du XVe au XXe siècle
Par Alain Cabantous, historien, professeur émérite d’histoire moderne, Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne
Les marins et leurs monstres : du XVe au XXe siècle
Par Alain Cabantous, historien, professeur émérite d’histoire moderne, Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne
Date(s)
- 10 avril 2018
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)