18 h 00
"De la rue au musée : récupération et objets trouvés"
par Deborah Laks, historienne de l’art, chercheuse associée à Sciences Po
par Deborah Laks, historienne de l’art, chercheuse associée à Sciences Po
Date(s)
- 05 novembre 2019
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
"Raoul Dufy et la documentation de son oeuvre havraise à travers les archives"
par Pierre Beaumont, Directeur des Archives municipales du Havre
par Pierre Beaumont, Directeur des Archives municipales du Havre
Date(s)
- 06 novembre 2019
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
"Le thème de l’atelier chez Raoul Dufy"
par Christian Briend, Conservateur général au Musée national d’art moderne, Chef du Service des collections modernes, Centre Pompidou
par Christian Briend, Conservateur général au Musée national d’art moderne, Chef du Service des collections modernes, Centre Pompidou
Date(s)
- 02 octobre 2019
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
"Dufy, les grandes décorations"
par Sophie Krebs, Conservateur général. Responsable des collections au Musée d’art moderne de la Ville de Paris et co-commissaire de l'exposition Dufy au Havre.
par Sophie Krebs, Conservateur général. Responsable des collections au Musée d’art moderne de la Ville de Paris et co-commissaire de l'exposition Dufy au Havre.
Date(s)
- 25 septembre 2019
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)
Raoul DUFY (1877-1953), Les Régates au Havre, 1925, huile sur toile, 52,5 x 63,5 cm. Collection particulière. © MuMa Le Havre / Charles Maslard © Adagp, Paris 2019
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Co-commissaire de l’exposition Dufy au Havre
« Si tous les critiques de son époque mettent l'accent sur ses origines havraises, c'est que Dufy n'aurait pas pu devenir Dufy sans sa ville natale. Le Havre, à la fois sujet et motif, réel ou imaginaire, est la ville qui l'a formé et lui a donné une sensibilité particulière. Il n'aura de cesse de venir expérimenter ou s'entrainer à chaque changement stylistique pour donner ce qu'il y a de mieux dans son œuvre. A la fin de sa vie, éloigné et malade, Le Havre de son enfance et de sa jeunesse est toujours présent. Il tente de le reconstituer dans la série des Cargos noirs que la mort vient interrompre. » Sophie Krebs
En partenariat et avec le soutien de l’AMAM – Association des amis du musée
« Si tous les critiques de son époque mettent l'accent sur ses origines havraises, c'est que Dufy n'aurait pas pu devenir Dufy sans sa ville natale. Le Havre, à la fois sujet et motif, réel ou imaginaire, est la ville qui l'a formé et lui a donné une sensibilité particulière. Il n'aura de cesse de venir expérimenter ou s'entrainer à chaque changement stylistique pour donner ce qu'il y a de mieux dans son œuvre. A la fin de sa vie, éloigné et malade, Le Havre de son enfance et de sa jeunesse est toujours présent. Il tente de le reconstituer dans la série des Cargos noirs que la mort vient interrompre. » Sophie Krebs
En partenariat et avec le soutien de l’AMAM – Association des amis du musée
Date(s)
- 22 mai 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
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Alors que la nouvelle exposition du MuMa ouvre ses portes, tout le musée se mettra aux couleurs de Raoul Dufy pour entamer de la meilleure façon cette aventure aux côtés des peintures de cet artiste emblématique. Une aventure qui nous mènera jusqu’au 3 novembre et qui permettra au visiteur de découvrir, à travers le motif de la ville du Havre, toutes les facettes d’une œuvre singulière. Pour l’heure, cette Nuit des musées mettra donc à l’honneur le peintre, en tissant des liens tous azimuts entre peinture, musique, littérature… Elle sera aussi l’occasion d’inaugurer un espace pédagogique lui étant consacré pour permettre au plus grand nombre de prolonger le plaisir de la visite.
Programme détaillé :
Musique
Le MuMa invite le pianiste et improvisateur Jérôme Canavaggia à dialoguer avec l’œuvre de Raoul Dufy, sous la forme de courtes interventions, toutes différentes et qui viendront ponctuer la soirée.
Rendez-vous dans la grande nef à : 19h, 20h, 21h, 22h et 23h
Atelier
Comme chaque année, de 18h à 22h, l’équipe des médiatrices du MuMa vous accueille en famille pour un atelier au cours duquel petits et grands mettront la main à la pâte. Un atelier pour découvrir de façon originale l’œuvre de Raoul Dufy. Un atelier pour s’amuser et passer un bon moment au musée.
Visites
Sous la forme de courtes interventions, les médiatrices du MuMa vous proposent une découverte de l’exposition Dufy au Havre à travers le regard qu’elles portent sur l’œuvre de ce peintre qui leur est si familier. Là le bleu, ici la musique, là encore la littérature… autant d’angles d’approche qu’elles déploieront dans un programme de visites « focus » dévoilé quelques jours avant la manifestation.
Rendez-vous à l’accueil à : 18h30, 19h30, 20h30, 21h30 et 22h30
Programme détaillé :
Musique
Le MuMa invite le pianiste et improvisateur Jérôme Canavaggia à dialoguer avec l’œuvre de Raoul Dufy, sous la forme de courtes interventions, toutes différentes et qui viendront ponctuer la soirée.
Rendez-vous dans la grande nef à : 19h, 20h, 21h, 22h et 23h
Atelier
Comme chaque année, de 18h à 22h, l’équipe des médiatrices du MuMa vous accueille en famille pour un atelier au cours duquel petits et grands mettront la main à la pâte. Un atelier pour découvrir de façon originale l’œuvre de Raoul Dufy. Un atelier pour s’amuser et passer un bon moment au musée.
Visites
Sous la forme de courtes interventions, les médiatrices du MuMa vous proposent une découverte de l’exposition Dufy au Havre à travers le regard qu’elles portent sur l’œuvre de ce peintre qui leur est si familier. Là le bleu, ici la musique, là encore la littérature… autant d’angles d’approche qu’elles déploieront dans un programme de visites « focus » dévoilé quelques jours avant la manifestation.
Rendez-vous à l’accueil à : 18h30, 19h30, 20h30, 21h30 et 22h30
Date(s)
- 18 mai 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Entrée libre dans la limite des places disponibles – Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité.
Robert Kramer Route One/USA 1989 © Les Films d’Ici
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NOT HOME BUT BACK…*
En 1987, le cinéaste américain Robert Kramer revient aux Etats Unis pour réaliser Route One/USA, un film documentaire le long de la route numéro un qui traverse la côte Est du nord au sud. Un parcours à la fois arbitraire et symbolique. Arbitraire parce que, comme le lui souffle Walt Whitman : « le long chemin brun devant moi me mène où je veux » et symbolique parce que Kramer part à la recherche des origines, de la route des « vieilles colonies », de lui-même, il va sans dire. La géographie des lieux déplie un livre d’histoire(s), la série de portraits dessine son rapport aux autres et au monde. C’est en étranger qu’il revient car c’est en étranger qu’il a fait tous ses films, dans l’inconfort de la rencontre et de la création. La mise en mouvement déclenche chez lui, dans une tension constante, la clarté du récit et le trouble de l’expérience. On s’interrogera sur la forme cinématographique issue de ce voyage et sur la forme de voyage immobile que le film propose au spectateur.
*Pas à la maison mais de retour…
Programme :
Dominique Dureau nous proposera sa vision du cinéma de Robert Kramer. Dominique Dureau est Professeur agrégé d’arts plastiques. Enseignant d’histoire de l’art et de cinéma à l’IUT du Havre.
En 1987, le cinéaste américain Robert Kramer revient aux Etats Unis pour réaliser Route One/USA, un film documentaire le long de la route numéro un qui traverse la côte Est du nord au sud. Un parcours à la fois arbitraire et symbolique. Arbitraire parce que, comme le lui souffle Walt Whitman : « le long chemin brun devant moi me mène où je veux » et symbolique parce que Kramer part à la recherche des origines, de la route des « vieilles colonies », de lui-même, il va sans dire. La géographie des lieux déplie un livre d’histoire(s), la série de portraits dessine son rapport aux autres et au monde. C’est en étranger qu’il revient car c’est en étranger qu’il a fait tous ses films, dans l’inconfort de la rencontre et de la création. La mise en mouvement déclenche chez lui, dans une tension constante, la clarté du récit et le trouble de l’expérience. On s’interrogera sur la forme cinématographique issue de ce voyage et sur la forme de voyage immobile que le film propose au spectateur.
*Pas à la maison mais de retour…
Programme :
Dominique Dureau nous proposera sa vision du cinéma de Robert Kramer. Dominique Dureau est Professeur agrégé d’arts plastiques. Enseignant d’histoire de l’art et de cinéma à l’IUT du Havre.
Date(s)
- 15 mai 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007. dist. Light Cone
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L’analogie entre chemin de fer et cinéma, ces deux grandes inventions de la vie moderne, est évidente : tout rapproche ces deux machines de voyage et de vision nées au XIXe s. Le train est un moyen de transport qui offre à ses voyageurs passifs le spectacle, bien cadré par la fenêtre du compartiment, d’un paysage défilant à grande vitesse. Le compartiment est la salle de projection, la locomotive est une machine, comme la caméra ou le projecteur, la fenêtre du wagon et l’écran sont le cadre dans lequel défilent paysage et image filmique. La voie ferrée aussi rappelle le ruban de celluloïd… Mais c’est également sur le plan de l’expérience visuelle qu’on peut rapprocher les deux dispositifs : la perception de l’espace n’est plus unique et continue, mais est fragmentée et discontinue, caractéristiques particulièrement mises en évidence par le cinéma expérimental.
Programme :
Al Razutis, Lumière’s train / visual essays n°1, 1979, 7’30
Ken Jacobs, The Georgetown loop, 1997, 11’
D.A. Pennebaker, Daybreak express, 1953, 5’
Robert Breer, Fuji, 1973, 9’
Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007, 8’
Guy Sherwin, Night train, 1979, 2’
Pablo Mazzolo, NN, 2014-2017, 2’30
John Smith, Song for Europe, 2017, 3’50
Jacques Perconte, Après le feu, 2010, 7’08
Programme :
Al Razutis, Lumière’s train / visual essays n°1, 1979, 7’30
Ken Jacobs, The Georgetown loop, 1997, 11’
D.A. Pennebaker, Daybreak express, 1953, 5’
Robert Breer, Fuji, 1973, 9’
Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007, 8’
Guy Sherwin, Night train, 1979, 2’
Pablo Mazzolo, NN, 2014-2017, 2’30
John Smith, Song for Europe, 2017, 3’50
Jacques Perconte, Après le feu, 2010, 7’08
Date(s)
- 24 avril 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970. dist. Arsenal
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Tony Conrad (1940-2016), cinéaste, musicien, enseignant, artiste et performer, figure séminale de l’avant garde new yorkaise des années 60, fut l’un des pères de la musique minimaliste, ayant notamment collaboré avec La Monte Young et John Cale au sein de The Dream Syndicate ainsi qu’avec le groupe allemand Faust. Comme cinéaste, ses recherches ont porté sur les effets de clignotement de l’image et son nom reste attaché au film stroboscopique THE FLICKER (1966). Ce programme réunit deux films de Conrad ainsi qu’un film de Paul Sharits, qui a enseigné aux côtés de Conrad et s’est engagé également dans la voie de la stimulation rétinienne par clignotement. Enfin, parmi les nombreux artistes ayant travaillé avec Conrad, on retrouvera Charlemagne Palestine dans le film de Pip Chodorov.
Programme :
Tony Conrad, The Eye of Count Flickerstein, 1966-75, 11’
Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970, 10’
Paul Sharits, T,O,U,C,H,I,N,G, 1968, 12’
Pip Chodorov, Charlemagne 2 : Piltzer, 2002, 22’
Dans le cadre du Festival PiedNu
A voir aussi :
Tony Conrad : Completely in the Present, documentaire de Tyler Hubby (2016/1h42/VOSTF) présenté au Studio le jeudi 14 mars à 20h30.
Programme :
Tony Conrad, The Eye of Count Flickerstein, 1966-75, 11’
Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970, 10’
Paul Sharits, T,O,U,C,H,I,N,G, 1968, 12’
Pip Chodorov, Charlemagne 2 : Piltzer, 2002, 22’
Dans le cadre du Festival PiedNu
A voir aussi :
Tony Conrad : Completely in the Present, documentaire de Tyler Hubby (2016/1h42/VOSTF) présenté au Studio le jeudi 14 mars à 20h30.
Date(s)
- 20 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972. dist. Light Cone
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Warren Sonbert (1947-1995) fut l’une des figures les plus originales et influentes du cinéma expérimental américain. Dès ses débuts en 1966 alors qu’il est encore étudiant à l’université de New York, et avant ses vingt ans, sa première rétrospective est un succès public et critique. « CARRIAGE TRADE: les déplacements, les voyages, les goûts de Warren Sonbert sont arrangés musicalement dans des compositions cadrées avec brio et des mouvements de caméra tourbillonnants. Les monuments les plus familiers – la Tour Eiffel, l’Arc de Triomphe, le Sphinx – sont placés entre les guillemets des jump cuts. Une heure d’expérimentation fascinante qui repose sur l’idée d’utiliser les images comme des notes de musique. Cela a été fait auparavant, mais rarement avec un tel talent et un tel esprit. » Andrew Sarris, Village Voice, Oct 1973
Programme :
Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972, 61’
Une programmation en écho à l’exposition Retour du vaste monde présentée au MuMa du 23 février au 14 avril 2019.
Programme :
Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972, 61’
Une programmation en écho à l’exposition Retour du vaste monde présentée au MuMa du 23 février au 14 avril 2019.
Date(s)
- 27 février 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.