"La Femme blonde" au MuMa
On en rêvait, le Centre Pompidou l’a fait : La puissante et énigmatique « Femme blonde » d’Albert Marquet reste au MuMa pour un prêt longue durée !
PRÊT LONGUE DURÉE
Ce tableau a, en effet, toute sa légitimité chez nous puisqu’il appartenait à l’un de nos plus grands mécènes, Olivier Senn. Et, malgré un nombre conséquent d’œuvres d’Albert Marquet dans nos collections, nous ne présentions pas encore de nus.
Une place de choix lui a été consacrée : en vue direct sur la grande nef du musée, on imagine qu’elle regarde la mer, perdue dans ses pensées. Joli face à face.
► En savoir + :
« La femme blonde » peinte par Albert Marquet en 1919 se démarque dans l’importante production paysagère de l’artiste. Assise en tailleur devant un fonds tapissé de fleurs rouges, son regard, pourtant tourné vers le spectateur, semble à peine remarquer ce dernier. Cet imposant nu féminin est certainement le dernier réalisé par l’artiste, alors qu’il fréquente les maisons closes et immortalise les prostituées. En effet, en 1920, il rencontre Marcelle, sa future épouse, et, désormais, c’est la seule femme qui apparaitra dans ses tableaux.
En 1933, la toile est acquise par le collectionneur havrais Olivier Senn, qui l’offre au musée du Luxembourg six ans plus tard.
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Légende de l’œuvre : Albert Marquet, La Femme blonde, 1919, Huile sur toile, 98,5 x 98,5 cm, Paris, Centre Pompidou, MNAM/CCI
Une place de choix lui a été consacrée : en vue direct sur la grande nef du musée, on imagine qu’elle regarde la mer, perdue dans ses pensées. Joli face à face.
► En savoir + :
« La femme blonde » peinte par Albert Marquet en 1919 se démarque dans l’importante production paysagère de l’artiste. Assise en tailleur devant un fonds tapissé de fleurs rouges, son regard, pourtant tourné vers le spectateur, semble à peine remarquer ce dernier. Cet imposant nu féminin est certainement le dernier réalisé par l’artiste, alors qu’il fréquente les maisons closes et immortalise les prostituées. En effet, en 1920, il rencontre Marcelle, sa future épouse, et, désormais, c’est la seule femme qui apparaitra dans ses tableaux.
En 1933, la toile est acquise par le collectionneur havrais Olivier Senn, qui l’offre au musée du Luxembourg six ans plus tard.
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Légende de l’œuvre : Albert Marquet, La Femme blonde, 1919, Huile sur toile, 98,5 x 98,5 cm, Paris, Centre Pompidou, MNAM/CCI
Billet de blog du mardi 18 mars 2025
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